Nous sommes en 2020. Les États-Unis et Israël sont furieux. Depuis deux décennies, leur projet pour la région a été toujours déjoué. Ils concluent qu’en présence du général Soleimani, ils n’atteindront jamais leurs objectifs régionaux. Une campagne de diffamation commence contre le héros de la lutte contre le terrorisme.
Mais encore une fois, c’est inutile. Par faiblesse et désespoir, ils décident d’assassiner le général Soleimani. Cela se produit le 3 janvier 2020. En représailles, le Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI) frappe une base militaire américaine en Irak, ce qui est totalement sans précédent après la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Avec l’assassinat du général Soleimani, les États-Unis et leurs semblables ont tenté désespérément d’affaiblir le mouvement de résistance dans la région. Mais le général Soleimani n’était pas seulement un leader du mouvement de résistance, il était un entraîneur des forces de résistance, celles qui étaient déterminées à poursuivre les idéaux du général martyr. Quatre ans plus tard, l’héritage du général Soleimani continue de hanter les terroristes et leurs parrains à travers le monde.
