En Irak, la Résistance est devenue de plus en plus populaire, car elle a fait preuve de courage et d’honnêteté dans sa lutte contre les terroristes de Daech. Elle a réussi à chasser les terroristes de Mossoul où Daech avait proclamé l’établissement de son soi-disant califat.
La popularité croissante de la Résistance irakienne soutenue par la République islamique d’Iran a fait que les Américains ont commencé à exercer davantage de pression sur Bagdad pour demander aux Iraniens de quitter le sol irakien.
Au grand désarroi des Américains, les élections de 2018 en Irak se sont conclues par une victoire écrasante des factions proches d’une manière ou d’une autre des Iraniens, y compris les Unités de mobilisation populaire (Hachd al-Chaabi).
Lorsque Donald Trump est arrivé au pouvoir aux États-Unis, la Maison Blanche a intensifié ses pressions sur Bagdad. Leurs pressions croissantes ont finalement abouti à la démission du Premier ministre irakien de l’époque, Adel Abdel Mahdi, qui entretenait des liens étroits avec Téhéran. Mais ce n’était pas la fin de l’histoire, car Trump avait encore en tête un jeu beaucoup plus dangereux…