Après que douze employés de l’agence humanitaire de l’ONU ont été licenciés, car accusés d’être impliqués dans l’opération du 7 octobre menée par la Résistance palestinienne, de nombreux pays alliés du régime d’occupation, dont la France, dominée par le lobby sioniste, ont suspendu leurs aides financières. Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, s’est dit horrifié par cette action.
La décision des pays ayant suspendu leurs aides « entraînera des responsabilités légales ou bien verra la fin du système international de justice », affirme Francesca Albanese.
L’annonce de plusieurs pays de suspendre leur versement de fonds à l’agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens (UNWRA) viole la décision de la Cour internationale de Justice (CIJ), et pourrait même violer la convention internationale sur le génocide, a déclaré dimanche 28 janvier une experte indépendante de l’ONU.
Réaction d'Ayssar Midani, analyste franco-syrienne et spécialiste du Moyen-Orient.