L’Irak est entré en guerre contre le Koweït en 1990, les États-Unis tirant les ficelles en coulisses.
Dans les faits, l’ambassadeur américain en Irak a rencontré Saddam Hussein avant l’invasion du Koweït et a assuré au dictateur irakien que Washington resterait à l’écart de l’évolution de la situation quoiqu’il arrive, approuvant tacitement l’invasion irakienne du pays voisin. Cependant, lorsque les choses devinrent incontrôlables, les États-Unis considérèrent Saddam comme un handicap dans la région et cherchèrent à éliminer leur ancien homme fort.