Le ministère des Finances du régime israélien a proposé de dissoudre 10 ministères très dépensiers pour combler le déficit budgétaire de 20 milliards de dollars lié à la guerre à Gaza.
Le ministère de la Coopération régionale, le ministère de la Diaspora et de l'Égalité sociale, le ministère des Affaires stratégiques, le ministère du Patrimoine culturel et le ministère de la Promotion du Statut de la femme font partie des ministères dont la dissolution a été proposée.
Le ministère des Finances du régime israélien a également proposé de réduire les subventions au gaz, d’augmenter les taxes sur les cigarettes et d'augmenter les taxes dans certains autres domaines.
Le projet de loi budgétaire supplémentaire d'Israël a été approuvé à la mi-décembre pour couvrir les coûts de la guerre avec le Hamas et le Hezbollah. Dans ce projet de loi, il était proposé d'augmenter les dépenses militaires et civiles.
Bien qu'il ait été adopté par 59 voix contre 45, le projet de loi s'est heurté à l'opposition de politiciens de diverses factions politiques, qui estiment que les fonds destinés à des questions non liées à la guerre sont excessifs.
Après l'opération baptisée « Tempête d’al-Aqsa », le régime sioniste a lancé une attaque sur Gaza le 7 octobre et s’est fixé "la destruction du Hamas" comme objectif de guerre. Et ce alors que de nombreux analystes ont rejeté la réalisation de cet objectif, estimant que le Hamas est une idéologie.
Selon les statistiques annoncées par le ministère de la Santé de Gaza, 20 424 Palestiniens sont tombés en martyrs et plus de 54 000 ont été blessés lors des attaques israéliennes à Gaza. Le nombre de victimes augmente en raison de la poursuite des agressions israéliennes.
Le régime israélien a ignoré les avertissements des organisations de défense des droits humains concernant les bombardements aveugles contre les civils à Gaza.
