Un haut commandant du Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI) a déclaré que les États-Unis ont été contraints de diriger Israël après son échec face à la Résistance palestinienne basée à Gaza, lors de l'opération Tempête d'Al-Aqsa le 7 octobre dernier.
Dimanche, le commandant adjoint de la Force Qods du CGRI, le général de brigade Mohammad Reza Fallahzadeh a déclaré que les combattants du Hamas avaient frappé le régime sioniste « comme la foudre » lors de la Tempête d'Al-Aqsa et l'avaient « humilié » après avoir attaqué des forteresses en acier, des murs en béton et des installations multiples et des clôtures d'un mètre de haut.
« Les forces de la Résistance palestinienne ont brisé la grandeur de l'ennemi sioniste et ont perturbé sa gestion, ainsi les États-Unis ont été contraints de prendre en charge la gestion de l'entité », s’est-il félicité.
Il a en outre indiqué que la Résistance palestinienne avait réussi à démolir le système de renseignement israélien, à vaincre son armée et à nuire à sa sécurité.
Le commandant du CGRI a également souligné que le régime sioniste n’a « rien obtenu » dans ses agressions massives, ses bombardements, ses tirs d’artillerie et ses attaques directes de chars et de véhicules de transport de troupes contre la bande de Gaza assiégée.
Le régime occupant massacre le peuple palestinien par « faiblesse et désespoir », a-t-il assuré.
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« L’ennemi frappe le peuple innocent et opprimé de Gaza et n’ose pas se battre contre les groupes de résistance », a affirmé Fallahzadeh. « Le Hamas est immortel et la vérité est victorieuse. C’est le mensonge qui sera anéanti. »
Au cours des 75 dernières années, les sionistes ont commis des crimes dans les territoires occupés, déplacé 7 millions de Palestiniens sans défense et massacré plus de 150 000 personnes.
Israël mène une guerre brutale contre la bande de Gaza depuis 7 octobre après que le Hamas a lancé son opération Tempête d'Al-Aqsa dans les territoires occupés de la Palestine.
Or le régime de Tel-Aviv a déjà causé la mort de 13 000 Palestiniens, dont plus de 5 500 enfants et 3 500 femmes. Au moins 30 000 autres personnes ont été blessées.
Il a également imposé un « siège complet » sur la partie côtière, coupant le carburant, l’électricité, la nourriture et l’eau à plus de deux millions de Palestiniens qui y vivent.
