Le porte-parole du ministère des affaires étrangères de la RII condamne les attaques de l'armée sioniste contre le camp d'Al-Bureij.
Jeudi 2 novembre, au 27e jour de la guerre à Gaza, les attaques de l'armée du régime sioniste sur Gaza se poursuivent. Le ministère palestinien de la santé a annoncé que 9 061 personnes avaient été tuées et 32 000 blessées.
En ce qui concerne la situation humanitaire désastreuse dans la bande de Gaza, le ministre palestinien de la santé a déclaré hier que 70 % des martyrs de Gaza étaient des femmes, des enfants et des personnes âgées, et qu'en plus des milliers de Palestiniens tués et blessés, des milliers d'autres sont portés disparus sous les décombres.
Sur cette base, le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères a condamné les agressions de l'armée sioniste contre le camp d'Al-Bureij. Il a ajouté que les États-Unis, ainsi qu'un nombre limité de pays, ont effectivement pris en otage les Nations unies et le Conseil de sécurité, en donnant la priorité aux intérêts du régime raciste et criminel d'Israël au détriment de la paix internationale, de la sécurité et des droits de l'homme.
La destruction du camp d'El Bureij, au cœur de la bande de Gaza, suite aux attaques du régime sioniste montre clairement l'ampleur des crimes [des sionistes] et des pertes en vies humaines", a déploré le diplomate dans un tweet.
Hier, des avions de guerre israéliens ont bombardé le camp de réfugiés palestiniens d'Al-Bureij, au centre de la bande de Gaza. Selon des sources palestiniennes, plus de 20 personnes ont été tuées dans le camp. Le porte-parole de la défense de la ville a également annoncé qu'un grand nombre d'habitants du camp étaient portés disparus lors du bombardement.
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Le ministre de la Guerre du régime d’Israël a déclaré mercredi soir lors d'une conférence de presse que plus de 10 000 missiles et bombes sont tombés sur la bande de Gaza depuis le déclenchement de la guerre.
L’écrasante majorité des pays, des gouvernements et des nations du monde appellent à la cessation immédiate des hostilités et la fin des agressions barbares et destructrices du régime sioniste contre la population sans défense de Gaza. Ce plaidoyer trouve notamment un écho universel, à l’exception de l’administration américaine et de quelques gouvernements européens, qui sont constamment impliqués dans des interventions militaires sous le faux prétexte de "défendre les droits de l’homme."
« Les dirigeants de ces gouvernements sont aussi responsables que les décideurs du régime sioniste pour avoir commis tous ces crimes de guerre à Gaza et ils doivent être tenues pour responsables », dit Kanaani sur twitter.
Depuis le début des attaques violentes des sionistes à Gaza, les États-Unis ont toujours soutenu les exactions des sionistes. Dans ce sens, le ministre iranien des Affaires étrangères, Hossein Amir-Abdollahian, a souligné dans plusieurs déclarations que les États-Unis géraient la guerre en cours à Gaza. À cet égard, il a déclaré : « Selon les informations dont nous disposons, la gestion de cette guerre est entre les mains des États-Unis, et Israël a lancé cette invasion au nom des États-Unis. C’est l’armée américaine qui a repris la gestion de la guerre, car le régime israélien est confronté à une crise interne. »
Lors d'une conférence de presse conjointe avec son homologue turc, Hakan Fidan, à Ankara, le ministre iranien des Affaires étrangères a déclaré : "Aujourd'hui, le commandant du Centcom et le commandant des forces terrestres de l'armée américaine se trouvent dans la salle commune des opérations de guerre à côté des militaires sionistes vaincus.
