Les forces d'occupation américaines et les milices qui leur sont associées continuent leur pillage organisé du pétrole, du blé et d'autres ressources de base ainsi que de la richesse nationale du peuple syrien.
Ce banditisme aggrave la crise énergétique et la catastrophe humanitaire en Syrie. Le droit à la vie du peuple syrien est impitoyablement violé par les États-Unis. Avec peu de pétrole et de nourriture, le peuple syrien lutte encore plus durement pour passer leur crise, ne cessent de dénoncer les autorités syriennes.
Damas souligne toujours que le but de la présence américaine en Syrie est de soutenir le terrorisme et de voler les ressources du peuple de ce pays.
Le niveau de cupidité des États-Unis dans le vol des ressources de la Syrie est aussi frappant que leur «générosité» dans l’octroi d’une aide militaire qui s’élève souvent à des milliards, voire des dizaines de milliards de dollars. Que les États-Unis donnent ou prennent, ils plongent d’autres pays dans la tourmente et le désastre, et les États-Unis à la tête de l’Otan en récoltent les fruits pour leur hégémonie et leurs autres intérêts. C’est le résultat amer du soi-disant ordre fondé sur des règles et lois intéressés des États-Unis qui n’hésitent pas à l’instar des groupes mafias à imposer ses désidératas.
Le débat du jour de PressTV français s’intéresse à ce sujet avec l’intervention d’Arnaud Develay juriste en droit international, consultant politique et journaliste indépendant, depuis Moscou et de Jean-Maxime Corneille juriste en droit européen, analyste en intelligence économique et questions stratégiques depuis Versailles.
