Les titres de la rédaction :
1-L’Algérie réaffirme son soutien aux efforts visant à renforcer l’usage pacifique de l’énergie nucléaire en faveur des pays en développement:
Le délégué permanent de l’Algérie à Vienne, Larbi Latroch a réaffirmé, lors de la participation de la délégation algérienne aux travaux de la 67e session de la conférence générale de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), le soutien de l’Algérie aux efforts de l’Agence pour que les pays en développement puissent bénéficier davantage de l’usage pacifique de l’énergie nucléaire, notamment dans les domaines de la santé, de l’agriculture, des ressources hydriques et de l’environnement.
Lors du débat général de la 67e session de la conférence générale de l’AIEA dont les travaux ont débuté le 25 septembre à Vienne, l’ambassadeur Latroch a salué le niveau d’exécution des activités de coopération technique avec l’Agence conformément aux priorités nationales pertinentes, mettant en exergue les différents efforts consentis par l’Algérie pour renforcer les capacités relatives à l’usage pacifique de la technologie nucléaire.
Il a souligné que « l’Algérie accompagne l’Agence dans le processus de renforcement des capacités des pays africains frères notamment dans le domaine de la médecine radiologique à travers la formation disponible dans les centres nationaux spécialisés ».
Dans le cadre de la présidence tournante de l’Algérie de l’Accord régional de coopération pour l’Afrique sur la recherche, le développement et la formation dans le domaine de la science et de la technologie nucléaires (AFRA) à partir de septembre 2023, M. Latroch a mis en avant la détermination de l’Algérie à poursuivre ses efforts visant à accompagner nos frères africains dans le domaine des sciences et des applications nucléaires.
Source : Al24news
2- Enseignement du français : l’Algérie prend une décision qui fait jaser
L’enseignement de la langue française en Algérie est de nouveau au cœur d’une polémique. Des écoles privées qui dispensent les cours dans cette langue et appliquent le programme français au détriment du programme national auraient été sommées par les autorités de se conformer à la réglementation, sous peine de sanctions.
Le journal français Le Monde, qui rapporte l’information, évoque dans un article consacré au sujet le désarroi des élèves et de leurs parents, pris au dépourvu par cette décision qui coïncide avec un changement au CNED français (Centre national d’enseignement à distance) qui n’accepte plus les inscriptions des élèves algériens pour le Bac français.
La réglementation algérienne en la matière est claire. Depuis 2005, année de l’octroi des premiers agréments aux établissements privés, ces derniers sont tenus de dispenser exclusivement le programme national, c’est-à-dire d’enseigner les mêmes matières, dans la même langue et avec les mêmes volumes horaires que l’école publique.
La pratique de la dispense du programme français dans les écoles privées est illégale, mais tolérée. Jusqu’à cette rentrée 2023-2024 où les autorités ont décidé brusquement d’appliquer fermement la réglementation. Dans le même temps, le gouvernement a accéléré l’introduction de l’anglais dans le cycle primaire, avec un recrutement massif d’enseignants de cette langue.
Source : TSA
3-Tourisme et économie de la culture : le duo gagnant de la Tunisie
Le développement réussi des secteurs du tourisme et de l’économie de la culture en Tunisie dépendra d’une planification soignée, d’une collaboration entre les parties prenantes, et d’un engagement à préserver et promouvoir la riche culture de la Tunisie tout en offrant des expériences mémorables aux visiteurs.
La Tunisie, pays au riche passé historique et culturel, est depuis longtemps une destination prisée des voyageurs en quête d’authenticité, d’histoire et de découvertes culturelles. Les ruines antiques, les médinas pittoresques, les festivals artistiques vibrants et les métiers traditionnels artisanaux ont fait de ce pays méditerranéen une terre d’enchantement pour les visiteurs du monde entier. Cependant, ces trésors culturels ont plus à offrir que de simples souvenirs de voyage. Ils jouent un rôle essentiel dans le développement économique de la Tunisie.
En revenant sur l’évolution et l’importance de ce secteur, l’ancien ministre du Tourisme, Ahmed Smaoui, n’a pas manqué de rappeler que, depuis un demi-siècle, la Tunisie a démarré cette aventure du tourisme et qu’aujourd’hui, on a réussi à faire de notre pays une destination incontournable de la Méditerranée. À l’époque, cela répondait à une demande internationale accrue depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, qui correspondait à un regain d’activité en Europe. Et depuis, le tourisme a pris différentes formes dont l’une des plus importantes est la mer, la plage et le soleil.
Source : La Presse de Tunisie
4. L’échange de devises entre l’Égypte, la Chine et les Émirats débutera en 2024:
La Banque centrale d’Égypte commencera à mettre en œuvre r l’accord d’échange entre la livre, le yuan chinois et le dirham des Émirats arabes unis d’ici le début de l’année 2024, ce qui contribuera à fournir des liquidités en devises à l’Égypte.
L’expert bancaire Mohamed Abdeaal a expliqué que le récent accord entre la BCE et les responsables de la banque des BRICS, de la banque centrale chinoise et de la banque centrale des Émirats arabes unis constituait une étape importante qui venait à point nommé.
Abdelaal a déclaré à Al-Masry Al-Youm que l’accord de clearing permettra à l’Égypte d’obtenir du dollar, car le dirham est une monnaie pétrolière convertible en d’autres devises telles que le dollar ou l’euro sur les marchés boursiers mondiaux.
Il a expliqué que l’échange de 42 milliards de livres égyptiennes contre cinq milliards de dirhams permet à l’Égypte de fournir des liquidités en devises et de combler le déficit existant en matière de ressources en devises. Les Émirats arabes unis peuvent profiter de ces 42 milliards de LE pour réinjecter ces montants sur le marché égyptien en achetant des actifs, a-t-il ajouté, ce qui est considéré comme un investissement direct.
Source: African manager