Au sommaire :
1- Anti-atlantisme : une autre lettre ouverte des militaires français
par Profession Gendarme
L’APNM Militaires Libres (association professionnelle nationale militaire) rappelle les sanctions que subissent ceux qui refusent les injections covid-19 et remarque les morts subites de plusieurs des leurs suite aux campagnes de vaccination.
Depuis le 15 septembre 2021, des gendarmes et militaires ont été écartés du terrain (interdiction de contact avec le public) subissant pression et harcèlement. Dès le début, des demandes ont été faites auprès du ministère des Armées afin de suspendre ces décisions.
Le 13 décembre, l’APNM a envoyé une lettre au médecin général des armées. La voici.
« Nous militaires, gendarmes, sommes retirés du terrain depuis le 15 septembre 2021, date à laquelle nous avons subi, pressions hiérarchiques, psychologiques, menaces, afin de craquer pour nous faire injecter la substance expérimentale appelée « vaccin covid19 ».
Comme beaucoup, nous nous sommes posé des questions sur ce remède « magique », qui allait nous libérer de toutes contraintes en un claquement de doigts. Les plus courageux qui n’ont pas craqué, ont été mutés disciplinaire, pour certains dans des services identiques, retirés du public, se moquant de la vie de famille, travail du conjoint, scolarité des enfants… Rajoutant en prime, un bonus de 10 jours d’arrêts. Aujourd’hui, le virus disparaît tout doucement, mais il y a toujours des petites piqûres de rappel au cas où celui-ci réapparaisse comme par magie !
Une nouvelle campagne de vaccination « expérimentale » est en route dans les rangs de la gendarmerie, avec la menace pour nous d’être retirés de toute mission outre-mer/Opex (opérations militaires extérieures – ndlr). Pour certains, ce sera la quatrième dose ! Cette dernière sera obligatoire afin de ne pas perdre nos missions !
Comme à chaque phase, nous constaterons sans doute encore, 2, 3, 4 camarades succombant d’un arrêt cardiaque, AVC, ou mort subite ; cette dernière pathologie étant très à la mode depuis bientôt 2 ans, sans inquiéter la moindre antenne médicale militaire. »
L’APNM Militaires Libres souligne qu’aux États-Unis, le Congrès a supprimé l’obligation vaccinale des militaires américains et s’interroge pour la France : « Peut-on parler de rupture d’égalité concernant l’obligation vaccinale envers les militaires et la liberté de choix pour les policiers ? »
2- Thérapie de l’Europe : guérir les maux par les racines
Introduction : Les origines de l’anglo-sionisme
Première partie
Lorsque j’ai découvert le Saker en 2014, j’ai tout de suite découvert son terme de génie « anglo-sionisme ». Après tout, c’est exactement ce dont il s’agit. C’est l’anglo-sionisme qui empoisonne le puits européen depuis plus de 300 ans.
Les banquiers qui ont quitté Venise pour Amsterdam, puis se sont installés à Londres, après avoir financé leur agent, le sanguinaire anglo Cromwell, et ont ainsi placé la monarchie anglaise sous le contrôle des marchands-banquiers (« parlementaires »), en fondant la Banque d’Angleterre en 1694 et en soudoyant les Écossais pour qu’ils s’unissent en 1707, étaient sionistes.
C’est ainsi qu’est né l’anglo-sionisme. Les Anglos étaient les commerçants de l’impérialisme britannique et les sionistes étaient les banquiers de l’impérialisme britannique, quelle que soit leur nationalité.
Bien sûr, il y a eu des mélanges, certains anglos devenant banquiers et certains sionistes devenant commerçants, allant par exemple jusqu’à se rendre aux Caraïbes pour le commerce des esclaves, dont la famille de l’ancien Premier ministre britannique Cameron a tiré des millions.
Et l’arrière-arrière-grand-père de Cameron était un banquier juif allemand qui est devenu citoyen britannique en 1871.
Le monde est petit.
L’anglo-sionisme en Europe
De tout cela est né le système politique anglo-sioniste. En général, le parti de droite (les Tories) était composé d’anglos, le parti de gauche (aujourd’hui appelé Labour) était composé de sionistes, bien qu’il y ait eu des exceptions, par exemple, le Premier ministre juif Disraeli, était dans le parti de droite.
Ce système a perduré au Royaume-Uni jusqu’à aujourd’hui, où, sans surprise, on parle de la civilisation « judéo-chrétienne ». Ainsi, les ministres du régime Blair, prétendument travaillistes, étaient presque tous écossais, homosexuels et…
Lorsque l’ultra-tory Blair, « fils de Thatcher », a été renvoyé après avoir fait son devoir, un homme appelé Jeremy Corbyn a fini par devenir le chef du parti travailliste. Contrairement à Blair, il était en fait de gauche, un socialiste convaincu.
Par conséquent, il était naturellement pro-palestinien et a été immédiatement qualifié d’« antisémite » par la presse britannique anglo-sioniste. Ils se sont débarrassés de lui par le biais de machinations, notamment en l’incitant à être anti-Brexit (deux tiers de ses partisans, son épine dorsale de la classe ouvrière, étaient pro-Brexit et ont donc, contre toute attente, mais sans autre choix, voté Tory pro-Brexit).
Corbyn a été remplacé par un millionnaire de l’establishment appelé Starmer, qui ressemble à une découpe en carton d’un Tory.
L’actuel dirigeant roumain est un Allemand.
La situation en Ukraine est bien connue, du milliardaire marchand d’armes Porochenko (de son vrai nom Walzman) à l’acteur millionnaire Zelensky (son nom est probablement une traduction de Gruen). En France, le lobby sioniste est fort depuis le XIXe siècle.
Bien que l’actuel président français Macron soit français, il est un banquier de Rothschild.
Il existe des dizaines d’autres exemples à travers l’Europe au cours des 300 dernières années, en particulier depuis Napoléon.
Les démons de l’Europe
Un spectre hante depuis longtemps l’Europe, ou plutôt deux spectres, ou plutôt deux légions de démons : Les démons unionistes et les démons nationalistes, les forces centripètes et centrifuges, qui ont tous deux reçu l’ordre strict de ne jamais permettre l’unité dans la diversité.
A suivre
3- Ukraine : Kiev est fier de déployer des armes chimiques
Alors que les informations du Mossad sur le désastre militaire ukrainien se répandent, des armes chimiques ont été larguées par des drones, les 5 et 6 février, sur la ligne de front de Soledar et d’Artyomovsk par une unité ukrainienne.
Il n’est pas possible à ce stade de dire si l’utilisation de ces armes interdites est une décision de l’état-major de Kyiv ou une initiative de cette unité précisément.
Les autorités du Donbass n’ont pas encore identifié l’agent utilisé.
Yan Gagin, conseiller du chef de la République populaire de Donetsk (RPD), a déclaré à l’agence TASS que les victimes souffraient de « graves étourdissements, de nausées et de vomissements ».
Source : Réseau Voltaire
4- Hongrie : l'Europe va se sauver grâce à Orban
Le virage à 180 degrés d'Orban vers l'Est d'où le soleil a toujours envoyé ses rayons nous montre, entre autres, le conflit confessionnel interne entre Européens, et montre aussi un grand-écart que même « un gymnaste qualifié » comme Macron est incapable de combler.
Inutile de dire que nous sommes face à un moment critique de l'histoire de l'humanité sur les cinq continents en général et plus particulièrement dans une Europe - philosophique - et pourtant en perpétuelle quête d'identité et qui, par inertie, s'accroche - coûte que coûte - à des valeurs anti-chrétiennes inexistantes alors qu'elle a tout intérêt à accepter son destin cosmique comme Eurasie. Pouvons-nous lutter contre notre destin qui veut notre bien ?
D'où viennent les fissures de toutes sortes qui se sont propagées et se propagent encore à une vitesse vertigineuse sur les autres plaques "tectoniques" de notre plante bleue au sens large du terme et nous confrontant à cette vérité ? risque-t-on de se prendre pour un dogmatique superstitieux en disant que les séismes d'Anatolie cristallisent métaphoriquement « ces fractures » ? Peut-on ou doit-on interpréter tous ces signes - [Guerres, covid 19, crises] comme autant d'avertissements que "notre créateur communique aux indifférents du 21e siècle que nous sommes devenus pour nous éveiller".
L'Europe, elle-même en proie à une profonde crise d'identité jamais connue, saura-t-elle résoudre un seul des problèmes qu'elle a engendre par orgueil dans l'espoir de créer un paradis terrestre, alors que Jésus Fils de Marie a dit haut et fort que « mon royaume " est là-haut.
La belle et pauvre Europe est tiraillée entre une partie de sa population redevenue païenne grâce aux efforts sataniques des atlantistes judéo-crétins, et l'autre qui est restée malgré tout fidèle aux valeurs du christianisme orthodoxe que prêche souvent Orban dans ses Discours aux Occidentaux.
Ces fissures confessionnelles dont nous sommes les témoins occultes journaliers se seraient-elles manifestées comme des tremblements de terre pour nous remettre sur le chemin de la Vérité, des tremblements de terre idéologiques et géologiques qui se succèdent les uns après les autres chaque fois plus plus meurtriers , pour nous rappeler que la vie sur terre est éphémère et que nous sommes là pour conquérir d'autres ciels et d'autres terres et qu'un pays à cheval sur l'Asie et l'Europe comme la Turquie doit avant tout servir de pont entre l'Asie et l'Europe, l'Europe dont les Alpes s'étendent d'ouest en est jusqu'à l'Alborz, mère des montagnes selon les zoroastriens ?
Cerise sur le gâteau, la Hongrie va ajouter deux nouveaux réacteurs à sa centrale nucléaire, avec l'aide de la Russie, apprend-on par euronews.fr le 27 août 2022.
5- Hongrie : l’ambassadeur homosexuel des Etats-Unis est accusé de miner les valeurs traditionnelles
Le diplomate David Pressman n’est pas le bienvenu à Budapest. Plusieurs médias hongrois le perçoivent comme une menace pour le pays.
David Pressman est-il persona non grata en Hongrie ? s’interroge ainsi le monde .fr ce 6 février 2023. Voici les détails distillés par les médias français; ils sont donc à prendre avec beaucoup de précaution
L’ambassadeur des Etats-Unis en Hongrie, arrivé dans le pays européen en septembre dernier, ne fait pas l’unanimité.
Ouvertement homosexuel, il lui est reproché par les médias hongrois conservateurs d’interférer dans le système judiciaire, d’enfreindre les conventions diplomatiques, mais également d’ébranler les « valeurs traditionnelles », comme le relate Courrier international, ce lundi 6 février, citant des informations recueillies auprès de plusieurs médias, parmi lesquels le New York Times.
Au cours de l’été dernier, tandis que David Pressman débutait à Washington son audition de confirmation, dans le but de devenir ambassadeur des Etats-Unis à Budapest, une pancarte avait été déployée depuis un canot qui naviguait sur le Danube, détaille Courrier international.
Dessus, quelques lignes avaient été écrites en anglais et en magyar. Quelques lignes qui sommaient alors David Pressman de ne pas « coloniser la Hongrie avec son culte de la mort », des propos qui faisaient référence à son homosexualité.
Dans l’article publié par le New York Times, sont évoqués les écueils auxquels le diplomate est confronté en Hongrie.
Tandis que David B. Cornstein, son prédécesseur, prônait les idéaux de Viktor Orban – le dirigeant conservateur – David Pressman est considéré par plusieurs médias hongrois comme étant une menace pour le pays, assure le journal américain.
Le diplomate a été rebaptisé « Madame l’ambassadeur » dans un talk-show pro-Orban. Il est régulièrement interpellé sur des questions de genre lorsqu’il rencontre des officiels hongrois.
Cité par le site de l’audiovisuel public Hirado.hu, Peter Szijjarto, ministre hongrois des Affaires étrangères, a reproché à David Pressman d’« utiliser sa présence en Hongrie pour critiquer l’activité d’un gouvernement élu avec une majorité assez évidente ».
« Nous n’avons pas besoin de gouverneurs pour nous dire comment vivre dans notre propre patrie », a-t-il estimé ensuite. Et de conclure : « La Hongrie est un pays souverain. »Autrefois atlantiste au point de regretter, lors du conflit russo-géorgien en 2008, que l’OTAN ne soit pas étendue à l’Ukraine, le premier ministre hongrois Viktor Orban a depuis misé sur les puissances orientales, chinoises, turques et russes.
La centrale nucléaire de Paks en Hongrie, la seule du pays, va s'agrandir prochainement, grâce à un prêt russe et avec la participation de l'entreprise publique russe Rosatom, poursuit l’info
Les nouveaux réacteurs de Paks, d'une capacité de 1 200 MW chacun, pourraient être opérationnels d'ici 2030 et il est prévu qu'ils fonctionnent aux côtés des quatre blocs existants de 500 MW chacun.
"Il est aujourd'hui plus clair que jamais que les pays disposant d'énergie et de centrales nucléaires peuvent se sentir plus en sécurité en termes d'approvisionnement énergétique, a déclaré Péter Szijjártó, ministre hongrois des Affaires étrangères. Plus la capacité d'énergie nucléaire d'un pays est importante, plus il sera en sécurité à l'avenir."
En mars 2017, la Commission européenne a approuvé le plan de financement de Budapest, après avoir écarté les éventuelles violations de la législation européenne.
Certains pays, comme l'Autriche voisine, s'opposent au projet et Vienne a introduit un recours en annulation auprès de la Cour de justice de l'UE.
Source : valeursactuelles.com