Le Bureau d'information des prisonniers palestiniens a fait état de l’incursion brutale des pénitentiaires israéliens contre la prison du Néguev et la répression sévère des prisonniers palestiniens simultanément au massacre des Palestinien à Jénine et Qods.
Les médias palestiniens ont rapporté que les responsables de la prison du Néguev ont coupé l'électricité dans ses 26e et 27e sections et ne permettent pas que les prisonniers aient accès à la nourriture.
Le ministère des Prisonniers de guerre palestiniens a également souligné dans un communiqué mis à la disposition des médias : « Des conditions tendues règnent dans les prisons de Megiddo, d'Ofer et du Néguev, et depuis ce matin, l'armée sioniste a intensifié la répression des prisonniers palestiniens, emmenant des dizaines d'entre eux dans des cellules d'isolement. »
Selon ce rapport, qui se réfère aux informations reçues de l'intérieur de la prison, les soldats israéliens ont tiré une grande quantité de bombes lacrymogènes à l'intérieur des cellules des prisonniers de la prison de Megiddo et ont transféré des dizaines d’entre eux dans des cellules d'isolement.
En outre, dans la prison du Néguev et la section 9 de la prison d'Ofer, les soldats israéliens ont fait irruption dans les chambres des prisonniers et les ont sévèrement battus.
Le ministère des Prisonniers palestiniens a mis en garde contre les mesures de représailles du régime israélien contre les prisonniers palestiniens après l'opération martyre à Qods.
En allusion aux évolutions en cours dans les prisons du régime israélien, le porte-parole du Bureau d'information des prisonniers l'a décrit comme une action dangereuse contre les prisonniers et une preuve de la faillite du régime sioniste et de sa défaite contre la Résistance et la brave nation palestinienne.
Il a souligné qu’en exprimant leur joie et accompagnant les célébrations de la nation palestinienne envers l'opération à Qods, les prisonniers palestiniens ont prouvé qu'ils sont toujours la partie principale et inséparable de la nation palestinienne, qui sont heureux de son bonheur et attristés par sa douleur.
