Après d’intenses négociations sous l’égide des États-Unis, la présidence libanaise a annoncé ce mardi 11 octobre que l’accord avec l’entité sioniste sur la démarcation des frontières maritimes entre le Liban et la Palestine occupée « sera conclu au plus tôt ».
L’accord maritime ouvre la voie à l’exploration des réserves de gaz naturel offshore par le Liban.
Le ministre de l’Énergie, Walid Fayyad, a déclaré que cela ferait du Liban un État pétrolier.
Pourquoi l’entité sioniste a-t-il fini par accepter les conditions du Hezbollah ?
Habib Tawa, analyste des questions internationales s’exprime sur le sujet.