Au sommaire :
1. Nouveau coup anti Russie
Les pays de l'OTAN veulent bloquer l'accès de la Russie à la mer Baltique et établir un contrôle sur l'entrée du golfe de Finlande.
À l'heure actuelle, l'Estonie et la Finlande, qui s'apprêtent à devenir membre de l'Alliance de l'Atlantique Nord, négocient pour établir un contrôle conjoint sur la mer Baltique, déclarant que cette région est contrôlée par l'OTAN.
De plus, on sait que la Finlande et l'Estonie ont l'intention de combiner leurs moyens de défense côtière, aérienne et antimissile afin de prendre le contrôle de l'entrée du golfe de Finlande.
De telles actions de la part de Tallinn et d'Helsinki suscitent de très vives inquiétudes, surtout qu'un peu plus tôt, trois autres États - la Suède, la Norvège et le Danemark - se sont déclarés prêts à maintenir constamment leurs navires de guerre dans la mer Baltique pour contrer la Russie.
« La portée des missiles estoniens et finlandais dépasse la largeur du golfe de Finlande. Cela signifie que nous unifions notre défense antimissile », déclare Hanno Pevkur, le ministre estonien de la Défense.
La Finlande et l'Estonie ont convenu qu'en tant que membres de l'OTAN, ils uniront, entre autres, leur défense côtière. Selon Pevkur, ce partenariat peut fermer le golfe de Finlande aux navires de guerre russes.
La partie russe n'a pas encore répondu à de telles négociations. Cependant, évidemment, la réponse sera assez dure, surtout avec l'avènement d'un nouveau type d'armes hypersoniques en Russie.
Source : Avia.pro
2. 1er revers de HARM en Ukraine !
Un missile de croisière anti-radar, dont les fragments ont été retrouvés sur le territoire de la région de Kherson, présente deux dommages thermiques sur son fuselage, qui, selon les analystes, pourraient être des traces de systèmes laser.
Sur les photographies présentées, on peut voir deux trous nettement perforés, l'un sur le corps du missile de croisière l'autre sur l'un des gouvernails de l’Objet
Si la trace de l'impact thermique est quasiment imperceptible sur le corps de la fusée, alors sur l'un des gouvernails, elle est en revanche très visible et c'est une des caractéristiques de l'utilisation d'armes laser capables de frapper à longue distance et grande vitesse
Considérant le fait que le missile n'a pas subi de dommages typiques d'un intercepteur anti-aérien classique, il en déduit qu'il est impossible que le missile ne soit pas tombé de lui-même, mais l'hypothèse que l'engin ait été abattu par l'arme laser reste très plausible étant donné que la Russie a déclaré officieusement qu'elle utilise de telles armes dans le cadre de l'opération spéciale russe en cours en Ukraine
Les experts d'Avia sont d'avis que les trous dans le corps et le gouvernail de la fusée ne sont pas le résultat de la pénétration d'éléments dommageables, comme en témoigne la présence de traces de brûlures, ainsi que des traces d'impact thermique à la surface du missile et à sa pointe.
Le déploiement d'installations laser de combat dans la région de Kherson n'a pas encore été signalé par les Russes.
Source : Avia.pro
3. Ukraine/Russie: l'accord céréalier, une arnaque ?!
Après l'ouverture des ports ukrainiens pour l'exportation de céréales, Kiev et les pays occidentaux violent les accords avec la Russie. Au lieu de céréales, « l'Afrique affamée » essaie de fournir d'autres produits. Et l'exportation d'engrais russes n'est pas déverrouillée.
Cela a été annoncé lors d'un briefing par le directeur adjoint du département de l'information et de la presse du ministère russe des Affaires étrangères Ivan Nechaev, rapporte un correspondant de PolitNavigator.
« Nous avons prêté attention à la situation autour du cargo sec transportant des céréales pour la Tripoli libanaise qui a quitté le port d'Odessa le 1er août. Il s'est avéré qu'il n'y avait pas à bord le blé dont les Libanais avaient besoin, mais du maïs. Et du fourrage. Selon les informations disponibles, le maïs a été abandonné à Tripoli et la cargaison attend de nouveaux acheteurs.
Malheureusement, jusqu'à présent, pas un seul navire transportant des céréales n'a atteint les côtes des pays affamés d'Afrique ou d'Asie du Sud. Ils vont principalement vers les ports occidentaux, et la gamme de marchandises exportées n'est principalement pas du blé, mais des grains de maïs et de l'huile de tournesol, ce qui jette un doute sur la sincérité des thèses exprimées en Occident selon lesquelles la sécurité alimentaire mondiale dépend de l'accord sur les céréales » , a argumenté le diplomate.
Nechaev a expliqué que cette situation n'est pas surprenante, car les chernozems d'Ukraine sont rachetés par des sociétés occidentales.
« Un autre aspect révélateur a été publié par l'Australian National Review. Selon lui, sur 64 millions d'hectares de terres arables ukrainiennes, 17 millions ont été achetés par les trois plus grandes sociétés transnationales américaines qui fournissent de la nourriture et des produits chimiques - Carnival, DuPont et Monsant. Ces entreprises cultivent des céréales en Ukraine – elles les vendent », a ajouté le représentant du ministère russe des Affaires étrangères.
Selon lui, l'Occident a trompé la Russie et n'a pas débloqué l'exportation de produits alimentaires russes, ainsi que d'engrais.
« Rappelons-nous que le paquet de documents signés à Istanbul comprenait des accords non seulement sur l'exportation de céréales de trois ports ukrainiens qui ont commencé il y a une semaine et demie, mais aussi sur la promotion des produits alimentaires et des engrais russes sur les marchés mondiaux, ce qui n'est actuellement pas mis en œuvre. Nous espérons que tous les accords globaux seront pleinement mis en œuvre et que les pays occidentaux créeront les conditions nécessaires pour accéder aux marchés mondiaux des engrais et des denrées alimentaires russes.
Dans le même temps, tout ce qui précède confirme une fois de plus que la crise actuelle en Ukraine est utilisée par les pays occidentaux dans leur propre intérêt.
Malgré leur soutien au régime de Kyiv et malgré leurs efforts pour préserver le foyer d'instabilité en Europe de l'Est, tous les buts et objectifs du NWO seront atteints », a averti l'attaché de presse.
Source : politnavigator.net
4. La Stampa: les plans de Zelensky pour prendre la Crimée se transformeront en enfer pour le monde entier
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky rêve de retirer la Crimée à la Russie et a déjà reçu l'approbation des conservateurs, ce qui pourrait compliquer la situation, écrit le journal italien, La Stampa.
L'analyste italien Dominico Quirico a commenté la récente déclaration du dirigeant ukrainien sur la nécessité de prendre la Crimée. « Si Kyiv ose attaquer, la Russie réagira durement, l'auteur de l'article en est convaincu ».
Quirico est convaincu que seuls les États-Unis peuvent donner un tel feu vert à Zelensky et que la confrontation autour de la péninsule menace de se transformer en une implication directe de l'Occident dans ce conflit. Autrement dit, les ambitions du dirigeant ukrainien menacent d'une nouvelle guerre mondiale : « Si Zelensky, comme il l'a annoncé dans l'un de ses discours à la nation, a décidé de commencer le “retour des territoires” précisément à partir de la Crimée, ces six mois ne s'avéreront qu'une étape temporaire avant l'enfer », s'est confié le journaliste.
Les propos de Zelensky sur la Crimée ont indigné de nombreuses personnes, y compris des résidents du Royaume-Uni. Les lecteurs britanniques ont été irrités par le désir du président ukrainien de prendre la péninsule à la Russie.
Source : politexpert.net
5. Perquisition de Mar-a-Lago : Trump a-t-il caché des documents secrets relatifs à l’assassinat de Kennedy ?
La perquisition dont a fait l’objet la résidence de Donald Trump à Mar-a-Lago par le FBI est-elle liée à la possession par Trump de copies de documents confidentiels détruits relatifs à l’assassinat du président John Fitzgerald Kennedy ?
Les faits : l’ex-président US Donald Trump a annoncé le 8 août 2022 que sa résidence de Floride, Mar-a-Lago, avait été perquisitionnée par la police fédérale (FBI), se déclarant victime d’une persécution politique à peine cachée visant entre autres à entraver une éventuelle candidature aux prochaines présidentielles US.
Pour les médias US, cette perquisition est directement liée à, tenez-vous bien, « une mauvaise gestion de documents classifiés » donc des documents extrêmement sensibles relevant du secret défense.
En d’autres termes, Donald Trump a pris le soin de prendre et de sauvegarder des copies de documents hautement sensibles dont la divulgation pourrait mettre à mal l’ensemble de l’architecture du pouvoir réel aux États-Unis et les pays vassaux de Washington.
Détail de taille, la police fédérale américaine n’a pas confirmé la perquisition ni souhaité commenter cet incident quasiment inédit pour un ancien président des États-Unis.
Donald Trump est tout sauf idiot. Il avait emporté avec lui dès son départ des cartons de documents dont certains sont classés secret défense, mais aussi des archives qui auraient été détruites dans les années 70. Dans ce dernier cas de figure, ce type de documents ne peut concerner que la période très houleuse des années 60 entamées par l’assassinat du président John Fitzgerald Kennedy le 11 novembre 1963 à Dallas et marquées par les assassinats politiques de Freedom Summer (James Chaney, Michael Schwerner et Andrew Goodman), du sénateur et ex-procureur général des États-Unis Robert F. Kennedy, du pasteur et leader des droits civiques Martin Luther King, du militant des droits de l’homme Malcom X, de l’escalade de la Guerre du Vietnam et la montée en puissance du complexe militaro-industriel. Il y avait aussi des cartons d’archives relatives à la gestion du C19 classées secret défense et des documents sur les affaires John McAfee (« suicidé » à Sant Esteve Sesrovires, Espagne, le 23 juin 2021) et inévitablement l’affaire Epstein.
Une voix Deus ex Machina a donc sollicité une agence fédérale pour faire donner un cadre légal à une action qui allait aboutir par un assaut sur la résidence de l’ex-président. Ne pouvant apparaître comme les commanditaires de cette perquisition, les ennemis de Trump, nommément le clan Clinton/Obama et les coteries qui sont derrière ce clan ont instruit les Archives nationales à déposer plainte contre Trump pour la violation d’une loi datant de 1978 selon laquelle tout président américain devait rendre ou transmettre l’ensemble de sa messagerie, documents électroniques, correspondances et documents de travail aux Archives nationales US.
L’annonce de cette perquisition a suscité l’indignation dans les rangs du parti républicain dont certains ténors comme le chef des conservateurs à la Chambre des représentants, Kevin McCarthy, ont dénoncé une « intolérable instrumentalisation à but politique du département de la Justice » en promettant d’enquêter sur cette affaire lorsque les républicains reprendront le pouvoir. De Santis, le gouverneur de l’État de Floride, où est située la résidence de Mar-a-Lago, est allé plus loin en qualifiant le régime de Joe Biden d’avoir transformé les États-Unis en république bananière.
Cette perquisition est à tout le moins étrange. Tout le monde s’attend à des enquêtes et des perquisitions dans le cadre d’enquêtes sur des accusations de fraude fiscale et de malversations financières au sein de l’empire financier de Trump, mais pas en raison de possession de documents de nature politique. Trump a donc pris les devants et paré à un éventuel procès en cachant des pièces dont la divulgation serait susceptible d’ébranler l’État profond US. Une éventuelle divulgation sur l’assassinat de Kennedy, apparenté à un coup d’État de l’État profond par un très grand nombre d’analystes politiques aux États-Unis, le rôle réel de la Commission Warren chargée d’un rapport officiel sur cet assassinat politique et d’autres aspects relatifs aux liens entre l’administration Johnson, la CIA, la mafia juive, les exilés cubains, Israël, la dynastie Bush et le complexe militaro-industriel, pourraient en effet remettre en cause la prise en otage des États-Unis par un pouvoir occulte non institutionnel et anticonstitutionnel et pourrait provoquer un début d’une seconde révolution américaine.
Indubitablement, l’État profond et ses branches chargées de la propagande qualifient tout questionnement autour de l’assassinat de Kennedy en dehors des conclusions de la Commission Warren comme de vulgaires théories complotistes, allant même à en créer quelques-unes ou à tolérer des adaptations cinématographiques à des fins de diversion ou pour noyer le sujet. Cet assassinat survenu au début des années 60 est d’autant plus d’actualité que la situation politique des États-Unis en 2022 est directement liée à ce coup d’État puisque l’État profond ayant pris le pouvoir et désigné un cacique comme président pour mener une guerre mondiale hybride tous azimuts est la création des cercles occultes ayant commandité la mort violente et publique du président Kennedy au Texas il y a de cela presque soixante ans. En fin matois, Trump ne pouvait ignorer la genèse du camp ennemi.
source: Strategika 51
