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E-Press du 31 mars 2022

Macron, premier chef d'État à visiter l'archipel de la Polynésie française.©AFP

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Au sommaire :

1-La sévère mise en garde iranienne

Évoquant la situation très sensible dans le golfe Persique, le détroit d'Hormuz et la mer d'Oman et certaines actions d'Israël dans cette zone stratégique, le général de division Hossein Salami, commandant en chef du Corps des gardiens de la révolution islamique, a déclaré : "Nous déclarons et avertissons explicitement que la poursuite de telles actions n'est pas du tout tolérable. Ils doivent savoir que l'existence du méchant régime sioniste où que ce soit est un facteur d'insécurité.

Selon l'agence de presse iranienne Fars News, le général de division Hossein Salami a fait ces déclarations mercredi lors d'une visite, en compagnie de l'amiral Alireza Tangsiri, commandant de la marine du CGRI, sur l'île iranienne de Bou Moussa.

La mission du général Salami était d'évaluer l'état de préparation au combat des unités stationnées sur l'île de Bou Moussa, d'inspecter les fortifications, les équipements de défense et de rencontrer le personnel militaire. Il a également salué la situation et les services rendus sur les îles stratégiques et assuré une défense "ferme et déterminée" contre d'éventuelles menaces.

Dressant un tableau détaillé des capacités de défense et de combat de la marine du CGRI, il a souligné que "la marine du CGRI a fait des progrès extraordinaires dans les domaines des drones, des missiles, de la flottabilité, de la guerre électronique, de la force aérienne et des sous-marins."

"Elle est capable de réagir rapidement et efficacement à tous les niveaux", a-t-il fait valoir.

"Nous espérons qu'avec les étapes importantes franchies par la marine du CGRI, la qualité de nos équipements, leur mise à niveau, nos performances techniques et tactiques continueront à augmenter et ce, avec les efforts inlassables de nos braves forces omniprésentes sur la mer", a-t-il souligné.

Il poursuit : "Chaque fois que nous visitons nos positions navales, nous sommes témoins de nouvelles prouesses et d'une montée en puissance. Nous réalisons la puissance quantitative et qualitative des drones, des sous-marins, des missiles, des unités de guerre électronique et des autres composantes de la puissance navale de l'IRGC."

Se référant à la situation sécuritaire dans le golfe Persique, le détroit d'Ormuz et la mer d'Arabie et à certaines actions dans cette région, le général Salami a déclaré : "Malheureusement, certains pays du sud du golfe Persique ont établi des relations politiques et sécuritaires avec le régime sioniste. Cela constitue une menace sérieuse pour la sécurité régionale... Nous déclarons et avertissons explicitement que la poursuite de telles relations n'est pas du tout admissible. Que ces pays comprennent que l'existence du régime sioniste maléfique dans le monde entier est une source d'insécurité. " Le commandant en chef du CGRI a appelé ces régimes à reconsidérer leurs politiques.

Source : PressTV

 

2-La France, une République bananière?

"MacronGate", "République bananière" : l'opposition monte au créneau sur l'affaire McKinsey.

De nombreux hommes politiques ont de nouveau critiqué le gouvernement concernant l'affaire McKinsey après la publication d'un article du Canard enchaîné sur une supposée "complaisance" du ministère de l'Économie envers le cabinet de conseil. Autrefois inconnu du grand public, le nom de McKinsey est désormais sur toutes les lèvres. Les révélations sur le rôle joué par le cabinet de conseil américain dans la politique de vaccination contre le Covid-19 avaient déjà fait couler beaucoup d'encre en janvier 2021.

Mais c'est le récent rapport de la commission d'enquête du Sénat, rendu public le 17 mars, dénonçant l'emprise des cabinets de conseil sur l'appareil d'État ainsi que leurs montages fiscaux, qui a mis le feu aux poudres. Un article paru dans l'édition du 30 mars du Canard Enchainé a relancé la polémique.

Le journal satirique enquêtait sur la faiblesse supposée des contrôles opérés par Bercy sur les pratiques d'optimisation fiscale mises en œuvre par plusieurs filiales françaises de cabinets de conseil privés. Le Canard Enchaîné se demande si l'"inertie" du fisc s'explique par une supposée "complaisance" du ministère de l'Économie et des Finances publiques à l'égard des cabinets de conseil.

La force de ces révélations est telle que certaines personnalités politiques et médiatiques y voient un "McKinsey Gâte", voire un "Macron Gâte" dont le président de la République devrait être tenu pour responsable. C'est notamment le cas de Jean-Luc Mélenchon, qui après ces révélations appelle à un changement de paradigme. "Un autre monde est possible. Nous sommes arrivés à la fin d'un cycle après 40 ans de néolibéralisme avec des cabinets de conseil qui prennent des sommes folles à l'État, des dividendes sur la vieillesse. Le chaos du marché partout, les gens n'en peuvent plus", a-t-il déclaré sur France Inter le 30 mars.

Un autre candidat à la présidentielle, Nicolas Dupont-Aignan, a dénoncé le fait qu'Emmanuel Macron ne soit "pas choqué moralement de refuser 800 millions d'euros d'aides aux personnes handicapées pour revaloriser l'AAH (Allocation Adulte Handicapé) et la déconjugaliser, mais n'a aucun problème à débourser cette somme pour des cabinets de conseil privés !" Florian Philippot n'est pas en reste. L'ancien candidat à la présidentielle a réagi avec virulence à l'article du Canard Enchaîné. "Nouvelle terrible révélation du Canard Enchaîné sur le #McKinsey Macron Gate ! Bercy aurait sciemment fermé les yeux sur des montages fiscaux qui auraient dû immédiatement l'alerter ! Macron doit rapidement s'expliquer !", a-t-il tweeté.

L'Opportuniste , Eric Zemmour a fait le parallèle avec l'affaire Fillon qui avait défrayé la chronique pendant la campagne présidentielle de 2017. "Qu'attend le Parquet national financier pour réagir, lui qui a été si rapide pour les costumes de François Fillon ?", s'est-il interrogé. Même son de cloche chez le sénateur LR de la Côte d'Or, Alain Houpert. "Comme j'ai demandé en 2017 le retrait de François Fillon, la volonté d'exemplarité affichée par le PR doit l'inciter à faire preuve de dignité et à se retirer. La France ne peut pas être une république bananière. Elle mérite mieux que cela", a-t-il déclaré.

Le 17 mars, la commission d'enquête du Sénat a publié un rapport explosif dans lequel elle dénonce l'influence disproportionnée des cabinets de conseil sur le gouvernement. Dans son rapport, la commission décrit un "phénomène tentaculaire" dont le coût est croissant pour les finances publiques. Pire encore, elle accuse les entités françaises de McKinsey d'optimisation fiscale, afin qu'elles n'aient pas payé d'impôt sur les sociétés entre 2011 et 2020.

Le 27 mars sur France 3, le président de la République a déclaré que la polémique autour des contrats avec le cabinet américain McKinsey n'avait pas lieu d'être et s'est défendu d'avoir violé les règles d'attribution des marchés publics. "S'il y a des preuves de manipulation, qu'elles aillent devant les juridictions pénales", a-t-il déclaré, avant d'assurer qu'il n'y avait pas de "combines" avec McKinsey.

Source : RT

 

3-L'Irak exigera des indemnités à l'entité sioniste

L'Irak envisage de demander à "Israël" une compensation pour le bombardement de son réacteur nucléaire en 1981

L'Irak a annoncé, mardi 29 mars, qu'il avait entamé l'étude des mécanismes permettant de demander une compensation pour le bombardement israélien du réacteur nucléaire de Tammuz (Osirak), au sud-est de Bagdad, en 1981.

Le bureau médiatique du conseiller irakien à la sécurité nationale, Qassem Al-Araji, a déclaré dans un communiqué qu'il avait discuté, lors d'une réunion avec des fonctionnaires du ministère des Affaires étrangères et de l'Énergie atomique à Bagdad, des moyens et des mécanismes permettant de demander une compensation en faveur de l'Irak dans le cadre du bombardement de son réacteur.

Le communiqué ajoute que cette demande est fondée sur la résolution n° 487 de 1981 du Conseil de sécurité des Nations unies et conformément aux moyens et options juridiques qui garantissent que l'Irak obtienne ses droits, conformément aux lois et pactes internationaux.

Il a ajouté que lors de la réunion, il a été souligné que les droits de l'Irak sont en harmonie avec les résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU et les obligations de l'Agence internationale de l'énergie atomique, soulignant que les axes du sujet seront présentés ultérieurement au Premier ministre Mustafa Al-Kazemi pour décider des mécanismes permettant d'établir les droits de l'Irak dans ce dossier et d'œuvrer à leur rétablissement.

Et la résolution n° 487 du Conseil de sécurité des Nations unies stipule que l'Irak a le droit d'obtenir une compensation pour l'attaque israélienne contre le réacteur nucléaire de Tammuz, dont la construction avait été supervisée par des ingénieurs français et italiens.

Le 7 juin 1981, des avions israéliens ont bombardé le réacteur, qui était encore en construction avec le soutien technique français, provoquant ainsi la destruction en grande partie de celui-ci. L'attaque israélienne a en outre tué pas moins de 10 soldats irakiens et un civil français.

Source: Médias

4-Après le pétrodollar, le pétrorouble ?

La terrible et douloureuse guerre sur le terrain est flanquée d'une guerre financière qui a commencé par des sanctions et l'utilisation du système Swift pour geler la finance russe, laquelle répond maintenant par une demande de paiement en roubles de son énergie, gaz et pétrole, soit un milliard de dollars par jour. Le "rouble pétrolier" rejoint-il le pétrodollar dans la guerre des devises ?

Pour comprendre la signification de cette opération, qui est destinée à soutenir le rouble, mais aussi à soutenir de manière incisive un processus de dédollarisation avec la Chine, il est utile de rappeler la naissance du pétrodollar et du système Swift.

Le pétrodollar a été créé en 1973, avec le Swift, pour soutenir le dollar, dont l'émission a été détachée de l'étalon-or en 1971, créant ainsi un système infini de production monétaire, basé sur le dollar et constamment exposé aux turbulences inflationnistes.

L'évolution des systèmes économiques a modifié les conditions qui permettaient au dollar d'être utilisé presque exclusivement dans les transactions financières avec, mais dans une moindre mesure, l'euro. Les développements géopolitiques ont renforcé d'autres économies, au premier rang desquelles la Chine, qui ont progressivement partagé un projet de dédollarisation afin de pouvoir utiliser leur monnaie de manière alternative.

Les accords, qui sont maintenant sur la table, concernent l'échange de pétrole en monnaie locale entre l'Iran, les Etats arabes et la Chine, qui pourrait payer ses fournitures en yuan, ainsi que l'Inde et la Russie, qui peuvent régler leurs échanges dans leur propre monnaie. Il convient de noter que la Chine et la Russie courent après l'or pour adosser leurs monnaies à l'or, et la Chine a déjà émis des contrats à terme liés à l'or. La Chine et la Russie ont déjà réduit leurs échanges en dollars de 90% à 40%.

L'introduction d'un système de paiement lié à des monnaies autres que le dollar réduit la demande de cette monnaie et risque de déclencher un processus inflationniste, comme on le voit aujourd'hui, ainsi qu'une éventuelle dévaluation de celle-ci : une once d'or vaut plus de 2000 dollars. Ainsi, les Etats-Unis courent le risque de voir la demande de dollars diminuer face à une offre illimitée de dollars, et il est clair que si le processus de dédollarisation se poursuit, le dollar devra faire face à sa faiblesse croissante en raison de la logique qui sous-tend l'équilibre entre l'offre et la demande de monnaie.

Comme l'a affirmé Carl von Clausevitz, la politique devient une guerre dramatique sur le terrain et une guerre monétaire sur les marchés financiers ; les deux guerres se déroulent sur le même plan, créant un désordre non seulement dans les principes de protection des personnes avec la guerre sur le terrain mais aussi avec le déséquilibre des économies mondiales.

Source : https://planetes360.fr/

 

5-L’Allemagne, espionne US contre la Russie?

Oui, voici ce que le très célèbre poète mystique iranien Rumi, connu en Occident sous le nom de Rumi, nous enseigne sur l'aveuglement du cœur à travers son œuvre monumentale « Masnavi Manavi » : « Celui qui loue le soleil, [d'une certaine façon] se loue - [en disant implicitement], "Mes yeux voient clairement et je ne suis pas aveugle"

Oui, cette prétendue difficulté à analyser les liens de causalité entre les phénomènes et leurs causes profondes n'existe que dans l'esprit des #zemmouristes et leurs consorts néo-babyloniens.

Oui, ce sont eux qui se battent corps et âme pour éloigner les masses des voies de la connaissance et de l'éblouissante Vérité contenues dans les livres saints, dont le dernier est "Le Saint Coran",

Oui, les livres sacrés sont tous descendus pour guider les peuples de toutes confessions confondues vers La Lumière qu'ils contiennent en eux comme des mines inépuisables de pierres précieuses à cette seule et unique condition que Ces Livres Sacrés ne soient pas mis en feuilles pour être mal interprétés , comme ce fut le cas avec un djihadisme simulé et exploité à fond par les sionistes pour retarder le renouveau de l'islam, notamment en Occident et Oui, terminons ce paragraphe par cette prière ô combien importante que Notre Créateur nous choisisse, parmi ses fidèles chercheurs de Vérité.

Oui, après le coup d'État anti-mondial du Covid suivi de celui anti-Allemand Nord Stream 2, tous deux menant au conflit russo-ukrainien, sortant tout droit de la fournaise sioniste joliment décorée sur le plateau avec des pertes humaines et matérielles, place au coup d'État contre le saint des saints du Bundestag, tout cela parce que le sioniste ne sait plus où expier ses péchés accumulés au fil des siècles.

Oui, les Allemands doivent maintenant s'attendre à courber davantage l'échine- excusez notre franc-parler, il faut appeler quand-même un chat un chat quitte à enrager les médias menteurs qui crient en vase clos- pour pouvoir brosser et cirer les bottes de leurs commandants américains qui sont eux-mêmes subordonnés aux francs-maçons sionistes adorateurs d'Iblis. 

Et oui, le piège des néoconservateurs sionistes américains et des antigermaniques vengeurs se referme sur les Allemands. 

Oui, c'est cela la vérité  : La marine américaine déploie six avions de guerre électronique EA-18 Growler en Allemagne, titre Opex 360 avant de continuer comme suit: Alors que les avions de guerre électronique E/A-18G Growler du VAQ 137 [Escadron d’attaque électronique 137] « Rooks » embarqués à bord du porte-avions USS Harry S. Truman peuvent être sollicités pour mener des missions au profit de l’Otan à partir de la Méditerranée, les États-Unis ont considéré qu’il fallait renforcer cette capacité en Europe. 

Ainsi, le 28 mars, le porte-parole du Pentagone, John Kirby, a annoncé que six E/A-18G du VAQ 134 « Garudas », mis en oeuvre par un détachement de 240 marins de l’US Navy, seraient envoyés en Allemagne, plus précisément sur la base aérienne de Spangdahlem, où 12 F-35A de l’US Air Force avaient été déployés quelques jours avant le début de l’invasion de l’Ukraine par la Russie.

Ces six E/A-18G « ne seront pas déployés pour être utilisés contre les forces russes en Ukraine », a assuré M. Kirby. Leur envoi en Allemagne a été décidé « dans le cadre de nos efforts pour renforcer les capacités de dissuasion et de défense le long du flanc oriental de l’Otan », a-t-il ajouté.

Selon M. Kirby, la décision d’envoyer ces E/A-18G en Allemagne n’a pas été motivée par une menace ou un incident spécifique. « Ils sont déployés [à Spangdahlem] car le secrétaire [à la Défense] veut garder toutes les options ouvertes », a-t-il dit.

« Il est en relation constante avec le commandant suprême des forces alliées en Europe [SACEUR, c’est à dire le général américain Tod D. Wolters, ndlr]. Et, à la suite d’une discussion avec celui-ci ainsi qu’avec le gouvernement allemand, il a été estimé que cela permettrait de continuer à renforcer nos défenses sur le flanc oriental [de l’Otan], a-t-il détaillé.

À noter que c’est la première fois que des E/A-18G Growler sont déployés en Allemagne. Le précédent gouvernement allemand avait souhaité en acquérir quinze exemplaires, afin de remplacer les Tornado ECR de la Bundeswehr.

Mais un tel achat n’est a priori plus d’actualité, Berlin ayant fait récemment part de sa décision de se procurer jusqu’à 35 avions de 5e génération F-35A ainsi que, sans doute, des Eurofighter EF-2000 en version ECR/SEAD.

Source : Opex 360

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SOURCE: FRENCH PRESS TV