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48 heures après les événements de Beyrouth, un méga incendie sur le front Nord

Gigantesque incendie dans le nord de la Palestine occupée, samedi 16 octobre. ©Fars News

Bien que les responsables de Tel-Aviv ne se soient toujours pas prononcés quant à la cause du gigantesque incendie déclaré ce samedi 16 octobre dans l’après-midi dans le centre commercial de Qalansawe dans le nord, l’hypothèse d’acte de sabotage n’est pas à exclure. En effet deux jours après les événements de Beyrouth voici qu’un incendie géant est provoqué sur le front Nord !

Le journal israélien Yediot Aharonot a rapporté qu’un incendie de grande ampleur s’était déclenché dans le centre commercial « Z Center » dans la ville de Qalansawe située dans le nord de la Palestine occupée.

Des centaines de personnes ont été évacuées par crainte que le bâtiment ne s’effondre entièrement, a rapporté le journal qui précise qu’alors qu’une géante colonne de fumée noire avait envahi toute la région, plusieurs équipes de pompiers ont été dépêchées sur les lieux pour maîtriser les flammes, mais en vain puisque dans les heures qui ont suivies, la toiture s’est entièrement effondrée.

Notant que l’incendie s’est produit à proximité d’une station d’essence, Yediot Aharonot poursuit qu’en raison des embouteillages les groupes de secours ont eu du mal à se rendre sur place et éteindre le feu.

Malgré les tapages propagandistes du régime sioniste sur ses capacités militaires, nombreux sont les écrivains israéliens à se pencher sur la survie de l’entité, et ce, 73 ans après sa création.

Selon ces écrivains, les doutes tissés autour de la stabilité du régime sioniste voient le jour alors que ce régime n’a non seulement aucun plan de compromis avec les Palestiniens, mais en plus, certaines estimations basées sur les données stratégiques ont élargi les risques d’une éventuelle confrontation entre Israël, déjà en proie à des troubles, avec les mouvements et les pays anti-Israël.

Alors que chaque année au mois de mai, les Israéliens commémorent ce qu’ils qualifient de “Journée de l’indépendance”, les Palestiniens s’en souviennent comme date de la grande tragédie de l’occupation de leur territoire et qu’ils appellent la Nakba et ceci s’interprète comme un grand paradoxe politique rarement produit dans l’histoire des nations.

Ce paradoxe politique enraciné dans les agissements du régime sioniste, les écrivains israéliens y reviennent en pointant du doigt l’incapacité des autorités sionistes à parvenir à une solution politique sur la cause palestinienne.

Tant que les Palestiniens ne reconnaîtront pas la Journée de l’indépendance des Israéliens et continueront à l’appeler la Nakba, il n’y aura aucune solution au conflit, estiment-ils en citant Benzion Netanyahu, célèbre historien israélien.

Ainsi un certain nombre d’hypothèses “inquiétantes”, dont la plus importante est de prédire combien de temps Israël sera capable de survivre se mettent en place eu égard aux incapacités d’Israël à contenir les dangers et mettant sérieusement en péril son existence au Moyen-Orient.

Selon les Israéliens, la question qui se pose est de savoir jusqu’où Israël va pouvoir tenir sans qu’il ne soit nécessaire de signer des accords de compromis durables avec tous les pays arabes de la région d’autant plus que les précédents cabinets israéliens dirigés par Netanyahu ont été blâmés pour la propagation de la haine, de l’inimitié et de l’échec diplomatique, ce qui a rendu désormais impossible la conclusion d’un accord de paix garantissant la survie d’Israël.

De nombreux colons sionistes croient que, contrairement aux générations précédentes, l’avenir d’Israël et sa position au Moyen-Orient sont désormais gravement défiés de sorte que les conséquences d’une telle négligence des autorités israéliennes affectant les colons sionistes.

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SOURCE: FRENCH PRESS TV