Un grand incendie s’est déclaré non loin de Qods ; des dizaines de pompiers ont été mobilisés pour maîtriser les flammes.
Selon Yediot Aharonot, l’incendie s’est déclaré ce mercredi 9 juin, dans l’après-midi, à Bayt Thul où les forces de police sont en train d’évacuer les habitants du village. Des dizaines de secouristes ont été acheminés sur place.
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Selon la chaîne 7 de la télévision israélienne, des avions ont été également envoyés sur place pour aider à maîtriser les flammes. La même source indique que la route numéro 425 a été bloquée.
Vendredi dernier, un grand incendie s’est déclaré au sud-ouest de Qods occupée et les colonies voisines ont été évacuées par la police.
Avi Har-Even que les médias israéliens donnent pour avoir été grièvement blessé à Acre par les jeunes Palestiniens qui y auraient pris d’assaut à coup de cocktail Molotov, l’hôtel où il résidait, était l’ancien directeur de l’Agence spatiale israélienne et le cerveau d’Israël dans les domaines balistique et aérospatial.
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Le service de sécurité israélien avait hébergé Avi Har-Even dans l’hôtel Efendi, à Acre, afin qu’il prenne sa distance avec les régions en crise dans les territoires occupés. Acre est une ville portuaire ancienne située au nord des territoires occupés par Israël.
L’histoire que les services de sécurité israéliens racontent sur la mort d’Avi Har-Even est loin d’être crédible ; comment un scientifique renommé de l’industrie balistique d’Israël pourrait être tué par une attaque alors qu’il bénéficiait des mesures de protection les plus rigoureuses.
Nombreux sont les experts de l’industrie aérospatiale et les analystes qui assimilent la position d’Avi Har-Even à celle du martyr Mohsen Fakhrizadeh, ancien président de l’Organisation de nouvelles recherches sur la défense de la République islamique d’Iran qui a perdu la vie il y a cinq mois dans un attentat terroriste. Fakhrizadeh figurait parmi les scientifiques nucléaires et balistiques les plus renommés de l’Iran dont la disparition coûtait cher à la sphère scientifique du pays.
Pour faire croire qu’Avi Har-Even avait été tué par une attaque au cocktail Molotov, Jerusalem Post a publié un rapport sur la mort de deux personnes à Lod, une ville habitée par les musulmans et les juifs, afin de conclure qu’il a perdu la vie accidentellement par une attaque.
Étant donné qu’Even a dirigé d’importants projets de recherche et de développement pendant sa carrière, sa disparition porte un coup dur aux forces armées israéliennes.
