Le commandant en chef de la Force Qods du Corps des gardiens de la Révolution islamique, le général Qaani, déclarant que les Fronts de la Résistance chaque jour infligent des coups durs aux États-Unis et à Israël, a déclaré : « Le chemin du général martyr Hejazi dans le domaine de la Résistance se poursuit ».
Déclarant que le général martyr Hejazi avant la Révolution avait été l’un des combattants les plus éminents contre le régime tyrannique de l’ennemi sur les champs de bataille et qu’il avait été présent dans divers domaines pendant la Révolution et les huit années de la Défense sacrée, il a ajouté : « En tant que commandant des du Basij,(forces mobilisées du CGRI, NDLR), il a dirigé cette Force pendant 10 ans, cette force qui est l’épine dorsale de la Révolution islamique.
Le général Qaani a poursuivi : “La portée des activités et des réalisations du martyr Hejazi est à tel point que le secrétaire général du Hezbollah, Sayyed Hassan Nasrallah, et le chef du bureau politique du Hamas, Haniyeh et d’autres dirigeants ont envoyé des messages de condoléances au Leader de la Révolution islamique. Le Leader de la Révolution islamique, l’honorable Ayatollah Khamenei dans son message aussi a qualifié le général Hejazi de brillant esprit, dynamique et ayant une foi, qui ne s'est jamais démentie ”.
C’est dans ce contexte que le général Mohammad Ismaïl Kowsari, ancien commandant du Quartier général du CGRI a lui aussi affirmé : “le général Hejazi a rendu d’immenses services pendant environ 8 à 9 ans au Front de la Résistance, en particulier, au Hezbollah et encore à la résistance palestinienne. Il menait la coordination entre la Force Qods du CGRI et l’état-major général du Corps des gardiens de la Révolution islamique et l’état-major général des forces armées ; ce qui a ouvert la voie à de nombreux succès au Front de la Résistance.
Faisant référence aux blessures reçues à l’arme chimique par le général Hejazi, blessures remontant à l’époque de la guerre de Saddam contre l'Iran et plus précisément, concernant les rumeurs publiées dans le cyberespace sur "le supposé assassinat biologique du général Hejazi", il a déclaré : "Ce genre de rumeurs sont une perversité signée des ennemis qui cherchent à insinuer qu'ils sont partout présents et capables de nuire aux intérêts du pays. Mais la vérité est que les stigmates de la guerre et des attaques chimiques de Saddam n'ont jamais quitté le général Hejazi. Et ce genre de souffrance s'élargit avec l'âge. Mais non, l'ennemi n'a pas les bras longs".
