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E-Press du 31 juillet 2020

La nouvelle du premier essai humanoïde du vaccin iranien anti-Covid couronné du succès s'est relayé par tous les médias internationaux. ©Fars News

Au sommaire :

1-Coviran n’a pas d’effets secondaires

Le premier essai humanoïde du vaccin iranien anti-Covid fut un franc succès et a eu de vastes répercussions dans les médias internationaux

Le pas spectaculaire franchi par l’Iran dans la fabrication du vaccin anti-Covid, malgré les entraves dressées par les vastes sanctions américaines a eu de vastes répercussions dans divers médias à travers le monde, qui ont diffusé les images des premiers tests humanoïdes depuis l’Iran.

La première injection humaine du vaccin iranien de coronavirus (Coviran) est faite en présence du ministre de la Santé et du vice-président pour la science et la technologie.

Cette injection humaine se réalise dans le cadre de la phase d’études cliniques du vaccin iranien (Coviran) produit par le groupe de recherche Barakat du Comité exécutif de l’Ordre de l’Imam Khomeini, une structure liée au Bureau du Guide suprême de la Révolution islamique d’Iran.

Jusqu’à présent, plus de 65 000 personnes se sont portées volontaires pour le test humain du vaccin Coviran. Dans la première phase, le test sera effectué sur 56 personnes. 

Cela étant, un infirmier de 45 ans est tombé malade la veille de Noël tant dis qu’il avait une piqûre de Pfizer huit jours auparavant, le raconte Sputnik se référant à ABC 10News. 

Travaillant dans deux hôpitaux différents, cet infirmier américain de 45 ans a reçu le vaccin de Pfizer le 18 décembre. Une semaine plus tard, soit la veille de Noël, il est tombé malade. Il s’est senti mal après avoir travaillé dans une unité Covid-19.

L’homme a été notamment pris de frissons, de douleurs musculaires et d’une importante fatigue, a-t-il affirmé auprès d’ABC 10News. Le lendemain de Noël, il a été testé, son dépistage s’avérant positif.

Source : IRNA et Sputnik

2-Les jours de l’armée américaine dans le golfe Persique sont comptés, affirme un général iranien

« L’Arabie saoudite vit sous le poids de l’humiliation en raison de sa subordination et de son association avec les États-Unis », a déclaré le général des Gardiens de la révolution islamique Ismaël Qaani, selon des députés iraniens cités par RT. D’après lui, les forces américaines s’apprêtent à quitter la région.

Lors d’une réunion à huis clos du Parlement iranien, le général Ismaël Qaani, commandant de la Force al-Qods des Gardiens de la révolution islamique, a lancé une violente attaque contre l’Arabie saoudite, ont indiqué des sources parlementaires à la chaîne RT.

« L’Arabie saoudite vit sous le poids de l’humiliation en raison de sa subordination et de son association avec les États-Unis », a-t-il affirmé, soulignant que le « départ des forces armées américaines de la région était imminent ».

Source : fr.news-front.info

3-Le ministre turc des Affaires étrangères a déclaré qu’Ankara ne considérait pas la Crimée comme un territoire russe.

Le ministre turc des Affaires étrangères, Mevlut Cavusoglu, a déclaré que malgré une amélioration significative des relations entre Ankara et Moscou, la partie turque ne reconnaît toujours pas la péninsule de Crimée comme un territoire sous souveraineté russe. Selon Cavusoglu, lors de la réunion de Sotchi, cette position a été clairement exprimée par la partie turque.

Le ministre turc des Affaires étrangères, Mevlut Cavusoglu, a déclaré que « les relations de son pays avec la Russie progressaient positivement, notant que la position d’Ankara concernant le rejet de la souveraineté russe sur la péninsule de Crimée n’a pas changé. »

S’exprimant lors d’une conférence de presse mercredi, Cavusoglu a déclaré : « Nos relations avec la Russie vont bien… et nous resterons en contact avec la Russie dans la phase suivante. Hier à Sotchi, nous avons confirmé que notre position sur la Crimée ne changera pas »...

Il est à noter que plus tôt l’attaché de presse du président russe Dmitri Peskov a déclaré que la position de la Turquie sur la péninsule de Crimée constitue l’un des principaux points de désaccord concernant cette affaire entre Moscou et Ankara, indique l’édition arabe AMN citant la déclaration du chef du ministère turc des Affaires étrangères.

Il convient de noter que la Turquie non seulement ne reconnaît pas la Crimée comme territoire russe, mais ne reconnaît pas non plus la péninsule comme territoire de l’Ukraine, affirmant que la Crimée a toujours appartenu à la Turquie, ce qui est absurde.

Les experts sont très critiques à l’égard de ce comportement de la Turquie, en particulier après la récente déclaration de journalistes turcs selon laquelle Ankara est prête à bloquer l’accès de la Russie aux eaux de la mer Noire, via le Bosphore.

Source : Avia.pro

4-Cuba blacklisté ?!

Washington envisage de placer Cuba sur la liste des sponsors du terrorisme

Des responsables du département d’État ont élaboré pour Mike Pompeo une proposition visant à désigner Cuba comme État sponsor du terrorisme, au côté de l’Iran, de la Corée du Nord et de la Syrie, rapporte le New York Times.

À quelques semaines de l’investiture présidentielle, le secrétaire d’État Mike Pompeo doit décider de placer ou non Cuba sur la liste des États sponsors du terrorisme où figurent déjà l’Iran, la Corée du Nord et la Syrie, annonce le New York Times qui se réfère à deux responsables américains.

D’après le quotidien, cette décision de dernière minute pourrait compliquer les plans de l’administration de Joe Biden de relâcher la pression américaine sur La Havane.

Le New York Times rappelle que si Cuba se retrouve parmi les pays qui, selon la définition du département d’État, fournissent « à plusieurs reprises un soutien à des actes de terrorisme international », le gouvernement cubain tomberait automatiquement sous le coup de sanctions américaines.

Même si la nouvelle administration pouvait agir rapidement pour retirer Cuba de la liste, cela exigerait plus que la signature présidentielle, estime le quotidien, tout en précisant que dans ce cas-là, le département d’État devrait procéder à un examen formel, un processus qui pourrait prendre plusieurs mois.

Une porte-parole du département d’État a refusé de discuter des délibérations concernant les mesures contre Cuba. La Maison-Blanche n’a pas fait non plus de commentaire.

Les États-Unis et Cuba ont rétabli leurs relations diplomatiques en décembre 2014 après plus de 50 ans de rupture. Le 20 juillet 2015, les ambassades des deux pays ont rouvert à La Havane et à Washington. Le secrétaire d’État américain John Kerry est devenu à la mi-août le premier chef de la diplomatie américaine à poser le pied sur le sol cubain depuis 1945.

Le 18 septembre 2016, Washington avait annoncé sa décision d’alléger les conditions pour se rendre à Cuba et pour commercer avec. Mais le 16 juin 2017, Donald Trump a proclamé l’annulation avec effet immédiat de l’accord conclu par l’administration Obama avec l’île.

L’irascible 45e Président des États-Unis avait alors qualifié l’accord d’« odieux » parce qu’il avait « provoqué des violences et l’instabilité dans la région » sans rien rapporter à l’Oncle Sam.

Source : Sputnik

5-Presse française : Israël censure...

Depuis fort longtemps, Israël s’insère effrontément dans les affaires des médias en France : une grosse partie de la presse orale et écrite est d’ailleurs la propriété des lobbys sionistes en France. Mais de là à vouloir empêcher une radio publique de parler de la scandaleuse discrimination qui existe dans les prisons d’Israël à l’égard des détenus palestiniens, privés de tout y compris du vaccin anti Covid, c’est un pas tout nouveau que l’ambassade d’Israël en, France vient de franchir à la faveur d’une présidence macron qui a obstrué toute critique contre le sionisme comme étant de l’antisémitisme.

L’ambassade d’Israël en France a qualifié mardi 29 décembre de « mensonge » et de « contre-vérité » un article de France Inter qui, se référant aux informations parues initialement dans le quotidien Haaretz, avait dénoncé la veille le ministre israélien de la Sécurité publique, Amir Ohana, d’avoir donné pour instruction à l’ensemble du système carcéral du pays de ne pas vacciner les « prisonniers de haute sécurité », soit des détenus palestiniens. Le journaliste Philippe Hugon nous en dit davantage.

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SOURCE: FRENCH PRESS TV