200 passagers israéliens ont été arrêtés à l’aéroport de Dubaï aux EAU: les premiers fruits de "la normalisation" commencent-ils à tomber?! Les dealers et trafiquants d'organe sionistes à l'assaut des Emirats qui ont cru au père Noël!
Ivre d'avoir rendu service au candidat Trump, les Emirats qui en sont désormais à menacer l'Amérique d'aller voir ailleurs si les F-35 US ne lui sot pas livrés ( puisque c'est là sans doute le seule acquis de la normalisation et encore!NDLR), commencent à réaliser l'ampleur des dégâts que lui inflige l'Ami Trump.
Depuis le mois d'octobre, date à laquelle les Emirats ont officiellement reconnu leur "annexion aux territoires occupés" en interdisant aux ressortissants des pays arabes et musulmans l'accès à leurs territoires quitte à en subir d’énormes coûts financiers, les déboires émiratis ne cessent de se multiplier surtout qu'à cette même date, les Sioistes ont été, eux aussi, exemptés de visa.
« Quelque 200 voyageurs arrivés à Dubaï, ont été informés que des changements avaient été apportés à la réglementation des visas et que seuls les détenteurs de passeports non israéliens pouvaient entrer dans le pays », indique la chaîne ajoutant que Dubaï avait suspendu l'accord de visa pour les Israéliens dimanche soir ; aucun commentaire immédiat de la part des autorités émiraties n'a été émis sur cet incident. Toujours selon la source, deux vols supplémentaires à destination de Dubaï depuis l’aéroport Ben Gourion près de Tel-Aviv, ont également été retardés lundi, avant d'être autorisés à décoller après l'intervention des responsables diplomatiques israéliens", annonce la chaîne 12 de la TV israélienne sans pourtant aller jusqu'à reconnaître "l'infiltration du territoire émirati part des gangs israéliens".
"les chefs des principales organisations criminelles en «Israël» ont commencé à travailler à Dubaï, où ils ont participé à des transactions internationales de drogue et ont acheté des biens immobiliers dans le pays. Les chefs de ces organisations israéliennes travaillent avec des hommes de paille qui sont envoyés en leur nom aux Emirats pour conclure des affaires évaluées à des dizaines de millions de dollars. Et pour dissiper les soupçons, ils se font passer pour des hommes d'affaires. Il y a des acquisitions illégales d'immobilières, de projets alimentaires et hôteliers ainsi que le trafic de cocaïne. Ce à quoi il faut ajouter le trafic d'organe, une spécialité trop israélienne. »
Une dernière affaire de trafic d'organe made in Israël qui a été médiatisée remonte en 2015 quand sept Israéliens ont été inculpés pour avoir donné à des malades israéliens des organes en provenance du Kosovo, d'Azerbaïdjan, du Sri Lanka ou de Turquie. Ils avaient réalisé des profits en se livrant «à des dizaines d'occasions» à des trafics d'organes entre 2008 et 2014 :
"Un des accusés, Avigad Sandlar, repérait les malades israéliens en vue de leur proposer des organes de personnes vivant au Kosovo, en Azerbaïdjan et au Sri Lanka. Un autre, Boris Wolfman, était chargé de repérer des donneurs potentiels, qui acceptaient de vendre un rein, au Kosovo et en Azerbaïdjan, avant d'étendre ses activités au Sri Lanka et à la Turquie. Le troisième inculpé, Moshé Harel, sévissait également au Kosovo avec un médecin turc, Yusuf Ercin Sonmez, Leurs deux noms avaient déjà été évoqués lors d'un procès en 2013 pour trafic d'organes au Kosovo mais aucune suite n'avait été donnée, rapportait à l'époque La presse française.
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"Un autre inculpé, le docteur Zaki Shapira, considéré comme un expert en matière de greffes d'organes, était chef de service pour ce genre d'intervention à l'hôpital Beilinson près de Tel-Aviv jusqu'à ce qu'il prenne sa retraite en 2003. Il faisait partie «intégrante» des activités illégales des autres inculpés au Kosovo, en Azerbaïdjan et au Sri Lanka, a affirmé le ministère. Il a exploité sa renommée pour aider les autres inculpés en mobilisant des receveurs potentiels, en s'occupant des démarches administratives et en vérifiant la qualité des hôpitaux et des médecins qui effectuaient les greffes», rapportait encore la presse française.
