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E-Press du 18 octobre 2020

Les Tchétchènes sont de rudes guerriers dans le sang. Les utiliser dans le cadre de la politique de « diviser pour régner » va s’avérer extrêmement dangereux. C’est un des aléas du mercenariat moderne, certes, mais pas en ingénierie sociale. ©Le Point

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Au sommaire :

1-Fin des embargos sur la vente d’armes à l’Iran

« La Russie n’a pas peur des sanctions américaines, car elle en a pris l’habitude », a déclaré le vice-ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Ryabkov, évoquant la fin des embargos sur les armes contre l’Iran.

« La Russie développe une coopération multilatérale avec l’Iran, et la coopération militaro-technique se poursuivra sereinement, en fonction des besoins des parties et de la volonté mutuelle d’une telle coopération », a-t-il ajouté.

Pour Ryabkov, les restrictions imposées à l’Iran concernant l’exportation ou l’importation d’armes conventionnelles arrivent à échéance ce dimanche 18 octobre 2020, indique l’agence de presse russe TASS.

Source : Fars news et 20 minutes

2-Enseignant égorgé : Israël vise la Russie ?

La Tchétchénie est contre le terrorisme et n’a rien à voir avec l’assassinat du professeur d’histoire-géographie Samuel Paty en France, a déclaré samedi 17 octobre Ramzan Kadyrov, dirigeant de cette république russe, présentant ses condoléances aux proches du défunt sur Telegram.

Selon Ramzan Kadyrov, ce n’est « pas la première fois que des Français essaient de rejeter la responsabilité de certains problèmes sur les Tchétchènes ». Toutefois, cette attaque n’a aucun lien avec les Tchétchènes de Russie, a-t-il noté.

« Abdoullakh Anzorov a passé presque toute sa vie en France où il est arrivé avec ses parents quand il était petit. Il a grandi à côté des Français, il a communiqué, parlé et écrit dans leur langue », a expliqué M.Kadyrov.

Source : Sputnik et Presstv

3-Une « Otan indo-pacifique » a-t-elle un avenir ?

Beaucoup se posaient cette question en prévision de la réunion des ministres des Affaires étrangères des États-Unis, du Japon, de l’Inde et de l’Australie le 6 octobre à Tokyo. Les participants ont refusé d’adopter un document final qui, selon l’exigence américaine, devait parler de la création d’une alliance. Maintenant nous pouvons essayer de comprendre pourquoi.

C’est peu probable en raison des restrictions juridiques de la Constitution pacifiste du Japon, ainsi que de la politique de non-alignement traditionnelle de l’Inde. L’Inde sera certainement la dernière de ceux qui voudront, ne serait-ce que d’évoquer cette question.

Deuxièmement, les pays du QUAD dépendent à tel point des relations commerciales et économiques avec la Chine qu’ils ne voudront probablement pas détériorer leurs relations avec Pékin.

Troisièmement, et surtout, l’époque d’alliances militaro-politiques traditionnelles est révolue, et le QUAD ne fait pas exception.

Source : Réseau international.

4- Soldats américains, cible légitime ?

L’armée américaine est une organisation complexe de plus de 2 millions de personnes financées par plus d’un trillion de dollars US par an.

Si les États-Unis étaient une démocratie comme on le prétend et s’ils suivaient leurs racines et leurs traditions, une armée professionnelle permanente dirigée par les « Princes parfumés du Pentagone » (selon le colonel David Hackworth) serait impossible.

Les États-Unis ont choisi une ligne de conduite, très marquée par la domination mondiale, qui dépend d’une armée qui est à la fois force d’occupation et pro-insurrectionnelle, sans qu’aucune limite ne soit tracée entre les « combattants de la liberté » et les terroristes.

Source : Réseau international

5- L’Irak renonce à un contrat avec la Turquie au profit du russe Gazprom

Le groupe gazier russe Gazprom pourrait prochainement obtenir jusqu’à 51 % du projet d’exploitation du champ de gaz irakien Mansuriya après la rupture par Bagdad d’un contrat avec le groupe dirigé par Türkiye Petrolleri Anonim Ortakligi (Turkish Petroleum Corporation), rapportent les médias.

Les autorités irakiennes ont rompu un contrat avec un groupe mené par la société publique turque Türkiye Petrolleri Anonim Ortakligi (TPAO) qui portait sur l’exploitation du champ gazier Mansuriya, a annoncé le ministre irakien du Pétrole, Ihsan Abdul Jabbar, sans expliquer les raisons de la rupture du contrat.

Le groupe GazpromNeft est déjà présent en Irak où il exploite le gisement pétrolier de Badra, dans l’est du pays. Le contrat court sur 20 ans et pourra être prolongé de cinq ans, selon un communiqué.

Source : Réseau international

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SOURCE: FRENCH PRESS TV