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Ni les drones ni les satellites, Israël ne peut rien contre les commandos palestiniens

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
La photo publiée par la chaîne 13 israélienne sur la construction d'un mur souterrain à la frontière de la bande de Gaza.

Des sources médiatiques ont rapporté que le régime sioniste cherchait à achever le projet de mur souterrain dans la bande de Gaza pour empêcher l’infiltration de groupes de résistance palestiniens.

Selon Alahednews, depuis trois ans, le régime occupant sioniste cherche à achever la construction de son mur souterrain, qui vise à détruire les tunnels de la Résistance palestinienne.

Ce mur est l’un des projets de sécurité importants du régime sioniste avec une longueur de 60 km, qui s'étend du sud de la bande de Gaza au nord.

Israël a déjà construit 59 kilomètres de ce mur et, comme il le prétend ; il reste encore un kilomètre jusqu’à ce que les sionistes atteignent leur objectif qui consiste à arrêter la construction de tunnels par des groupes de résistance palestiniens.

Aren Ofer, chef de l’Autorité de la frontière et de la ligne de cohésion au ministère israélien des Affaires militaires et l’un des responsables du projet, a annoncé que la décision de construire une barrière souterraine avait été prise après l’opération « Bordure protectrice » contre des groupes palestiniens.

« Chaque semaine, environ un millier d’ouvriers travaillent sur ce projet dans la bande de Gaza, projet, qui est sans précédent en taille, en longueur et en profondeur dans le monde », a-t-il ajouté.

Il y a quelques années, le régime sioniste a eu l’idée de contrer les tunnels offensifs de la Résistance palestinienne depuis la bande de Gaza en construisant un mur de séparation souterrain, mais certains dirigeants au sein de l’entité sioniste, basée sur la règle de la « meilleure défense est l’attaque », se sont opposés à l’idée de l’implantation de mur de séparation souterrain ou sur le sol.

Après la construction d’un mur de séparation en Cisjordanie et l’installation des barbelés le long de la frontière, notamment après avoir échoué à faire cesser les opérations des Palestiniens, l’idée de construire un mur souterrain semblait plus sage qu’avant.

Peu de temps après, le ministère israélien des Affaires militaires a émis un permis pour la construction d’un mur souterrain le long de la frontière avec la bande de Gaza dans le but d’empêcher les tunnels de la Résistance d’arriver au-delà de la Ligne verte.

À ce stade, l’idée de construire un mur souterrain n’était plus une théorie, et le ministère israélien des Affaires militaires a annoncé plus tôt cette semaine le premier appel d’offres pour creuser et construire une nouvelle ligne de défense autour de la bande de Gaza afin de pouvoir faire face aux tunnels de Résistance, qui constituent la plaque tournante de la doctrine militaire de la Résistance islamique de la Palestine.

Cela intervient alors que le quotidien Israel Today a annoncé que « des dizaines de soldats israéliens ayant participé à l’offensive israélienne contre la bande de Gaza en 2014 souffrent toujours des symptômes de crises psychologiques ».

Le journal a indiqué dans ce contexte que l’un des soldats de l’occupation souffre toujours du choc psychologie, à la suite de son entrée dans un des tunnels du mouvement Hamas durant l’offensive de 2014.

Le journal a ajouté que ce soldat désigné « Matan », membre de l’unité d’ingénierie militaire de l’armée de l’occupation, est entré dans l’un des tunnels du Hamas et puis est sorti indemne, mais cet incident lui a causé une grande crise psychologique de laquelle il souffre jusqu’à ce jour.

Et le journal israélien d’expliquer qu’en raison de ce qu’il a observé durant les combats de la Bande de Gaza, ce soldat ne supporte point le bruit des avions qui lui rappellent les moments de la terreur vécus durant la bataille, notant qu’il a changé de domicile pour s’éloigner des lignes aériennes.

 

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SOURCE: FRENCH PRESS TV