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L’actualité en Afrique
Les analyses de la rédaction :
RDC : la puissance colonialiste procède à des pressions économiques
La puissance néo-colonialiste procède à une nouvelle stratégie afin de mettre la pression sur le gouvernement de Félix Tshisekedi qui ne cède pas aux complots et exigences de ces puissances : la pression économique.
Pour entamer des négociations avec le gouvernement congolais, FMI pose un certain nombre de préalables et exige un budget 2021 réaliste.
Mais ce qui gêne le plus la puissance néo-colonialiste, c’est que malgré les pressions occidentales, le président Tshisekedi ne rompt pas son alliance avec son prédécesseur, Joseph Kabila, bête noire de la force d’occupation qui, à travers ses codes miniers a coupé la voie à tout pillage et détournement des richesses du pays.
D’ailleurs, le média d’occupation RFI en parle : « En s’alliant à l’ancien président Joseph Kabila, Felix Tshisekedi a promis de ne pas fouiner dans le passé. Or, le FMI prône plus de transparence, notamment dans le secteur minier, avec, entre autres, la publication de contrats jusque-là restés opaques. Le FMI, qui s’est vu jusqu’ici opposer une fin de non-recevoir, demande a minima la publication de deux contrats miniers signés sous Felix Tshisekedi, ceux qui concernent la Sokimo et la Miba. »
Le code minier de Joseph Kabila, les politiques souverainistes de Félix Tshisekedi et le soutien que porte le peuple à son gouvernement et à son armée, ne sont pas au goût d’une puissance colonialiste qui tente à tout prix de mettre à genou le gouvernement congolais, et ce, via des assassinats ciblés, des déstabilisations dans l’Est et le nord-Est du pays ou encore des pressions économiques.
Félix Tshisekedi a bien compris les règles du jeu et c’est pour cela d’ailleurs qu’il a mis en place le processus de DDR (désarmement, démobilisation et réintégration) à Ituri afin de calmer les tensions, bien que les médias mainstream et leurs acolytes tentent de mettre des bâtons dans les roues de ce processus.
Tout ceci est dans un seul objectif : éterniser la présence occidentale en RDC et préparer le démembrement de ce grand pays d’Afrique centrale qui a depuis des années échappé aux ingérences occidentales grâce aux politiques souverainistes de l’ex-président Joseph Kabila. Le fait que Félix Tshisekedi ne cède pas aux exigences franco-US agace…
Burundi tient tête face aux complots occidentaux
Le gouvernement burundais a demandé le retrait du Burundi de l’ordre du jour du Conseil de sécurité de l’ONU. Il a déploré que son pays soit victime depuis quelques années d’une campagne internationale « d’intoxication et de diabolisation » jusque dans les couloirs de l’ONU.
« Le Burundi ne constitue en aucun cas une menace pour la paix et la sécurité dans la région et le monde entier », a déclaré Alain-Diomède Nzeyimana, porte-parole adjoint du président Evariste Ndayishimiye.
Luc Michel, géopoliticien, nous explique cet acharnement des instances internationales contre le Burundi.
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