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L’USS Nimitz n’échappera pas à nos missiles puisqu'il est bourré d’armes et de munitions (CGRI)

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
La grande manœuvre iranienne du Grande prophète-14. ©Tasnim

Le porte-parole du Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI) a souligné que la destruction d’une réplique du porte-avions n’était pas contrairement aux attentes l’objectif de cet exercice : « le vrai porte-avions est plus vulnérable que le faux navire, et les Américains et les Israéliens ont bien reçu le message de l’exercice ».

Après que certains médias ont semé le doute dans l’espace virtuel sur les manœuvres Grande Prophète-14 organisées par le Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI), le général, Ramézan Charif, porte-parole et responsable des relations publiques du CGRI, faisant référence au succès de cet exercice et à la réalisation d’un large éventail d’objectifs variés dans la série prévue, s’est exprimé en ces termes : « Le grand exercice Grand Prophète-14 s’est tenu dans les conditions spécifiques du pays, de la région et du monde et a prouvé que les armes et les sanctions économiques du front ennemi n’avaient aucun effet sur le renforcement de la capacité militaire ni sur le développement de la dissuasion offensive de l’Iran islamique. Nos forces armées, en particulier le CGRI, ont atteint un haut point de confiance en soi. Elles sont capables de fabriquer les équipements dont elles ont besoin par les moyens nationaux, ce qui fera échouer les tentatives de l’ennemi d’entraver ce processus. »

« Le front belligérant a bien compris que dans la doctrine de défense des forces armées, aucune action contre les intérêts nationaux de l’Iran ne restera sans réponse, et que dans le cadre de la dissuasion offensive, il devra faire face à des réactions appropriées et décisives. »

Le général Sharif, se référant aux tentatives des médias ennemis pour semer le doute et la suspicion sur cet exercice grandiose, a expliqué sur la décision de ne pas anéantir le faux porte-avions : « il existe différentes méthodes qui sont définies et fixées en fonction des objectifs de chaque exercice. »

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« Le choix de la maquette du porte-avions lors de récents exercices du CGRI en tant que symbole et cible a des philosophies et des motivations différentes, qui ont été définies et mises à l’ordre du jour conformément aux objectifs de chaque exercice », a précisé le haut gradé iranien, ajoutant : 

Évidemment, les vrais navires sont beaucoup plus vulnérables et subiront des dégâts beaucoup plus graves que le modèle simulé, car contrairement au modèle simulé ils transportent des missiles, des munitions et du carburant. Et un drone ou un missile pourrait le détruire complètement. »

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SOURCE: FRENCH PRESS TV