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L'architecte "américain" du blacklistage tombé...

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Une scène de manifestation contre le blacklistage du Hezbollah en Allemagne. (Capture d'écran/Twitter)

L’ambassadeur des États-Unis en Allemagne qui occupe provisoirement le poste de chef des services de renseignement a décidé de démissionner de son poste d’ambassadeur dans les prochaines semaines.

Richard Grenell, actuel ambassadeur américain à Berlin et directeur par intérim du renseignement, qui avait reçu la proposition de Trump pour le poste de chef des services de renseignement, a l’intention de présenter dans les semaines à venir sa démission.

Richard Grenell, ambassadeur américain à Berlin. (Archives)

Selon Die Welt, citant l’agence de presse officielle allemande, Grenell a décidé de quitter son poste d’ambassadeur américain à Berlin.

Selon Politico, le président américain, Donald Trump, a demandé à Grenell en février dernier de retourner à Washington pour prendre la présidence des services de renseignement.

« Le mandat de Grenell, une haute autorité sécuritaire de Trump, s’approche de sa fin. La semaine dernière, le Sénat a confirmé le remplacement de Grenell par John Ratcliffe, représentant du Texas au Congrès à la tête du renseignement américain », a ajouté Politico.

En début de mars dernier, Daily War a pour sa part rapporté que Grenell a annoncé à la Maison-Blanche qu’il ne voulait pas retourner à Washington une fois son mandant arrivé à son terme.

« Certes, lorsque Grenell a formulé cette demande, aucune confirmation officielle n’a été présentée ni de la part de la Maison-Blanche ni de Berlin », a précisé Politico.

 

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SOURCE: FRENCH PRESS TV