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Deux "attentats biologiques ciblés" déjà commis par Israël et les soupçons qui pèsent sur un régime génocidaire

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Les soldats israéliens en plein exercices chimiques.(Photo d'archives)

De plus en plus de voix s'élèvent pour dénoncer le coronavirus comme étant une bioarme. Peu de pays ont la possibilité de fabriquer des ADM biologiques. Avec une pratique déjà ancienne, Israël est au centre des soupçons. Qu'est-ce qui se cache par exemple, derrière les murs de béton et les clôtures électriques de l'Institut israélien de recherche biologique (The Israel  Institute for Biological Research, IIBR) de Ness Ziona près de Tel-Aviv?  Bien que peu de gens le sachent avec certitude, le site est largement soupçonné d’être l'un des principaux centres de recherche sur les armes chimiques et biologiques (Chemical and Biological Weapons, CBW). Une autre tâche présumée de l'institut consisterait à découvrir des vaccins et à concevoir des systèmes de surveillance "pour protéger la population d'Israël contre les attaques ennemies utilisant des armes non conventionnelles''.

Un article daté du 2012 et publié par le website Strangeside évoque deux "méga-secrets" d’Israël qui cadre bien avec le contexte épidémique en cours :

« Le secret le moins bien gardé d’Israël est le programme nucléaire de Dimona que Mordechai Vanunu a largement percé dans les années 70. Le deuxième secret, l'un des secrets les mieux gardés d'Israël, est caché derrière les murs des bâtiments du programme d'armes chimiques et biologiques (Chemical and Biological Weapons, CBW). Bien que tout le monde soupçonne Israël d'avoir quelque chose de caché dans sa manche, personne ne sait exactement ce qui se passe dans les laboratoires et les sous-sols de l'Institut israélien de recherche biologique (The Israel  Institute for Biological Research, IIBR) au sud de Tel-Aviv. L'IIBR mène des recherches et développements appliqués dans les domaines de la biologie, de la chimie médicinale et des sciences de l'environnement, en plus des études de recherche fondamentale étroitement liées aux projets appliqués de l'IIBR. Cependant, ce n'est qu'une partie de la vérité. Après tout, Israël a fermement refusé de signer la Convention sur les armes biologiques et toxines (BTWC)."

Et l'article d'ajouter : " Le premier contact du régime israélien avec des armes biologiques a commencé juste après la Seconde Guerre mondiale. Mais c'est en 1997 que Tel-Aviv, éternel parias de l'ordre international a involontairement révélé son savoir-faire biologique et chimique dans une tentative bâclée d'assassiner Khaled Mechaal, le chef du bureau politique de l"époque du mouvement de la Résistance islamique de la Palestine, Hamas. Une escouade du Mossad a été envoyée en Jordanie et, alors que Mechaal sortait de ses bureaux à Amman, les deux hommes lui ont donné une dose. L'attaque a tourné court. La prochaine grande faille dans le secret de l'IIBR sioniste s'est produite en octobre 1998 lorsqu'un Boeing 747 de la compagnie aérienne israélienne EL Al décollait de l'aéroport d'Amsterdam. À 6500 pieds, un moteur à réaction est tombé de l'aile et a cassé un autre moteur. Tout en réduisant la vitesse pour l'approche finale, l'avion est devenu incontrôlable et il s'est écrasé dans un immeuble d'habitation dans la banlieue d'Amsterdam. Au cours des prochaines années, les secouristes et les personnes vivant à proximité du lieu de l'accident ont souffert d’affections mystérieuses, notamment des éruptions cutanées et des cancers, faisant penser que l’avion israélien s’était écrasé avec une cargaison toxique à bord.

Israël a admis que l'avion transportait 190 litres de métaphosphate de diméthyle, un produit chimique qui peut être utilisé pour produire du gaz innervant sarin ou utilisé dans les matériaux de construction comme retardateur de flamme. El Al a fini pour reconnaître que l’avion transportait des matériaux nocifs, en dépit des efforts du gouvernement israélien pour faire croire que les produits chimiques transportés n’étaient pas toxiques.

Avec un tel antécédent, Israël pourrait-il être le créateur sinon un partenaire du projet Covid-19? Alors que le coronavirus a affecté plus de 150 pays du monde, l’institut israélien de recherche Galilée affirme qu'il aura un vaccin contre le coronavirus dans quelques semaines, "prêt à être distribué et utilisé dans les 90 jours". L’institut prétend qu’il a engagé quatre années de recherche sur le coronavirus aviaire, financées par les ministères israéliens des sciences, de la technologie et de l’agriculture. Il affirme que le virus est similaire à la version qui a infecté les humains, ce qui a conduit à des percées dans le développement du vaccin grâce à la manipulation génétique, mais certains scientifiques sont sceptiques quant à la possibilité de produire un nouveau vaccin si rapidement pour empêcher un virus qui n’existe que depuis tout récemment. Ils ont également averti que même si un vaccin était développé, il devrait normalement être testé pour les effets secondaires, un processus qui prend normalement plus d’un an et comprend son utilisation sur des humains infectés. Reste à savoir comment expliquer l'extension si rapide de la maladie en Israël. Suivant, font remarquer certains observateurs, le principe qui régit les colonies de peuplement : "En effet, il y a un Israël d'en haut et un Israël d'en bas. Le second sert de chair à canon et de tirelire au premier". 

 

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SOURCE: FRENCH PRESS TV