Au sommaire :
1-Les Grecs ont mis le feu au « drapeau du régime sioniste » dans un stade
Les supporters d’une équipe grecque de basket-ball ont brûlé des drapeaux du régime sioniste lors d’un match et ont hissé des drapeaux du Hezbollah et de la Palestine.
L’incident s’est produit lors d’un match de basket entre une équipe grecque et une équipe israélienne, où certains supporters de l’AEK ont brûlé des drapeaux israéliens.
La rencontre a eu lieu mercredi dernier dans la capitale grecque Athènes, entre l’équipe grecque AEK et Hapuel, et des milliers de supporters grecs ont hissé des drapeaux palestiniens, des images de « Marwan Broguthi » et des combattants palestiniens détenus dans les prisons sionistes.
À en croire les supporters israéliens, les fans de l’équipe grecque de l’AEK ont également déchiré le drapeau israélien avant d’entrer dans le stade.
Selon une source, les forces de sécurité étaient présentes au stade et il n’y a pas eu d’affrontement physique entre les deux équipes.
Il n’y a pas longtemps, des membres d’une organisation de gauche appelée Rubicon ont attaqué l’ambassade sioniste en Grèce et ont tiré des balles rouges sur elle.
Source : Fars news
2-Cyberguerre marine USA/Russie
Un avion militaire américain aurait mené une attaque électronique contre un navire de guerre russe avec des systèmes de brouillage
Selon la chaîne de télévision américaine MSNBC, le Boeing E-6B Mercury de l’US Air Force aurait participé à cette attaque électronique contre le navire de reconnaissance militaire russe Vasily Leonov navigant au large des États-Unis.
L’avion militaire américain a volé dans la zone où se trouvait le navire de reconnaissance russe, et à bord, des systèmes de brouillage auraient été utilisés contre le navire russe.
Selon la chaîne de télévision MSNBC, le Boeing E-6B Mercury a également coordonné les opérations contre un navire militaire russe avec des sous-marins de la marine américaine, ce qui renforce l’hypothèse selon laquelle Washington pourra répéter cette attaque contre le navire russe dans un avenir proche.
Il convient de préciser que l’apparition même du navire de reconnaissance russe « Vasily Leonov » a sérieusement effrayé les États-Unis d’Amérique, en raison de ses manœuvres hors commun.
Selon les sources américaines, les marins russes ont même coordonné une opération spéciale pour frapper les États-Unis en utilisant de torpilles « Status-6 », comme indiqué précédemment.
Source : avia.pro/news/amerikanskiy
3-La dette publique française à plus de 100 % du PIB
À 2415 milliards d’euros, la dette est à nouveau en hausse de 0,9 point et dépasse le seuil fatidique des 100 % du PIB.
La dette est clairement le point faible du quinquennat Macron. Pendant la campagne, le président de la République s’était engagé à baisser de 5 points en 5 ans le taux d’endettement. Dans l’euphorie post-victoire, il avait même affiché une ambition supérieure auprès de la commission de Bruxelles, en anticipant un reflux de 8 points d’ici 2022.
Reste que les choses ne se sont pas passées comme prévu (gilets jaunes, guerre commerciale, ralentissement mondial…) et que le chef de l’État français a été rattrapé par le principe de réalité. À la rentrée, il a revu ses ambitions à la baisse et n’anticipait plus alors qu’un reflux de 1,7 point. Mais cela, comme dirait la publicité, était avant de franchir le seuil des 100 %...
Dans sa lutte contre la dette, le gouvernement a un allié de taille, à savoir les taux d’intérêt. Aujourd’hui, la France emprunte à des taux négatifs pour des échéances de 15 ans, limitant de facto la charge de la dette.
Source : Alter info
4-Le budget de la Défense US pourrait pousser Ankara à acheter des Sukhoi russes
Le 20 décembre, Donald Trump a signé une large loi portant sur le budget de Défense américain pour l’année fiscale 2020. Le document consacre entre autres un article spécial à la nécessité de faire face à la Russie, à la Chine et à d’autres menaces.
Ainsi, la loi impose des sanctions contre les gazoducs Nord Stream 2 et Turkish Stream, et interdit également la livraison de chasseurs F-35 à la Turquie en raison de l’achat par Ankara de systèmes antiaériens russes S-400. Enfin, elle débloque l’octroi de 300 millions de dollars d’aide militaire à l’Ukraine.
Fin août, le Président turc a déclaré que des négociations étaient en cours entre son gouvernement et Moscou en vue d’une éventuelle acquisition de chasseurs russes Sukhoi Su-57. Le 11 décembre, le chef de la diplomatie turque a confirmé qu’Ankara considérait les chasseurs russes comme une alternative aux F-35 américains.
« Le nouveau budget offre des possibilités d’élargissement à la coopération militaro-technique entre la Russie et la Turquie. Évidemment, la Turquie ne reçoit pas de chasseurs américains F-35 car elle ne renoncera pas aux S-400 qu’elle a déjà obtenus. En conséquence, il existe une vraie possibilité d’achat par la Turquie de Su-35 ou de Su-57 dès maintenant », a expliqué le directeur du Centre d’analyse du commerce d’armes, Igor Korotchenko.
Source : Sputnik