Le commandant de l'Armée nationale libyenne (ANL) Khalifa Haftar a annoncé, vendredi 13 décembre, le début d’une opération décisive pour reprendre la capitale libyenne, Tripoli. La question qui se pose actuellement est de savoir si le gouvernement d'union nationale fera appel au président turc, Recep Tayyip Erdogan, qui a promis de le soutenir, et quelle serait la réponse de l'Égypte en tant que principal soutien du général Haftar ?
Est-ce que ses avions bombarderont les navires turcs transportant des soldats et des équipements vers les ports de la Libye ?
Est-ce que la Turquie s’engagera dans une autre guerre à des milliers de kilomètres loin de chez elle alors qu’elle s'est engagée dans une autre guerre en Syrie et qu’elle est entourée d'ennemis ?
Fabrice Beaur, expert pour l'ONG EODE, s'exprime sur le sujet.
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