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The National Interest : l’influence du CGRI ne se limite pas à ses capacités militaires

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Des combattants du CGRI. (Photo d'archives)

Un magazine américain reconnaît que le Corps des gardiens de la Révolution islamique reste le « plus grand cauchemar » du président américain.

Le magazine américain The National Interest rappelle ainsi la décision de la Maison-Blanche de placer le nom du Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI) sur la liste des organisations « terroristes » en reconnaissant par là même et indirectement que l’influence de cette force ne se limite pas à ses capacités militaires.

Le journal américain souligne aussi que la Force Qods du CGRI représente un « obstacle permanent » aux intérêts des États-Unis au Moyen-Orient.

The National Interest fait allusion au rôle de la Force Qods dans la lutte contre les groupes terroristes qui sévissent en Syrie en ajoutant :

« Les méthodes asymétriques et inhabituelles du Corps des gardiens de la Révolution islamique ont défié les États-Unis ».

Il y a presque quatre mois, l’administration américaine a placé le CGRI sur la liste des organisations « terroristes », dans le cadre de sa politique de pression maximale sur les groupes qui portent atteinte aux intérêts américains dans la région du Moyen-Orient.

Il est tout de même utile de rappeler que l’administration américaine a néanmoins mis en place des exemptions pour des États étrangers, des ONG et des organisations coopérant avec le CGRI.

 

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SOURCE: FRENCH PRESS TV