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Les révolutionnaires bahreïnis soutiennent pleinement le CGRI

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
L'US Navy et la Marine royale australienne dans le cadre d'opérations conjointes dans le golfe Persique. (Photo d'archives)

En blacklistant le CGRI, les USA n'auraient jamais cru avoir à s'inquiéter pour leur plus grande base navale dans la région: c'était sans compter sur l'opposition jusqu'ici larvée à la présence déstabilisatrice des États-Unis. La cinquième flotte US saura-t-elle se préserver de la riposte des résistants bahreïnis ?

L’Alliance bahreïnie des jeunes du 14 février a vivement dénoncé la décision insolente des États-Unis d'inscrire le Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI) sur leur liste noire des organisations terroristes.

Dans un communiqué publié le jeudi 11 avril, l’Alliance bahreïnie des jeunes du 14 février a déclaré que la récente décision des États-Unis visant le CGRI s’inscrivait dans le cadre du soutien de Washington aux groupes terroristes qui étaient éparpillés partout dans le monde.  

L’Alliance a également dénoncé les mesures « terroristes » et « idiotes » entreprises par Washington contre la noble Qods et les hauteurs du Golan occupé. Ces mesures n’affaibliront jamais la volonté de l’axe de la Résistance qui s’est tellement efforcée d’éradiquer le terrorisme alimenté par les États-Unis, Israël et les régimes rétrogrades d'Arabie saoudite, de Bahreïn et des Émirats arabes unis, a-t-elle indiqué. 

« Le fait que le président idiot des États-Unis et les hommes d’État américains placent les noms des groupes de résistance au Liban, en Palestine, à Bahreïn, au Yémen et en Irak ainsi que le CGRI en Iran sur la liste des organisations terroristes est une preuve de plus qui montre comment l’axe de la Résistance a entraîné dans l’impasse tous les complots des superpuissances mondiales destinés à démembrer les pays islamiques dont et surtout l’Iran.

Le Corps des gardiens de la Révolution islamique fait partie intégrante du système politique de la République islamique d’Iran et symbolise sa sécurité nationale. Il a été fondé tout de suite après la victoire de la Révolution islamique pour préserver et protéger la révolution et ses acquis. Il doit sa légitimité à la volonté et au vote du peuple iranien. L'inclure dans la liste noire des organisations terroristes, cela revient à reconnaître comme terroriste un État qui a œuvré dans la lutte antiterroriste », ajoute le communiqué.

L’Alliance des jeunes du 14 février a ensuite assimilé le CGRI à une « force de réaction rapide » qui neutralise les machinations des mercenaires à la solde de l’Arrogance mondiale et des ennemis de la Révolution islamique, y compris l’Organisation des Moudjahidines du peuple iranien (OMPI).

Et de poursuivre: « Le Corps des gardiens de la Révolution islamique a été pris pour cible des États-Unis en raison de son rôle majeur dans l’éradication du plus grand danger de nature terroriste au monde, Daech, soutenu par les Américains. »

L’Alliance des jeunes du 14 février a évoqué la fondation de la Force Qods dirigée par le « brave » général Qassem Soleimani, soulignant qu'elle soutenait fermement les groupes de résistance en Irak, au Liban, en Palestine et dans d’autres pays du monde musulman: « La Force Qods, accompagnée des groupes de résistance, a réussi à déjouer tous les complots tramés par les États-Unis, l’Occident et les régimes despotiques au Moyen-Orient. La récente décision de Washington n’est donc qu’une vengeance pour tous ses échecs. »

L’Alliance a rappelé que le peuple bahreïni ainsi que les révolutionnaires de ce pays apporteraient leur soutien indéfectible au Corps des gardiens de la Révolution islamique et qu’ils resteraient aux côtés de l’axe de la Résistance par tous leurs moyens.

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SOURCE: FRENCH PRESS TV