Les médias mainstream, dont Reuters, s’activent pour déformer la réalité concernant les événements qui ont cours en Algérie. Le traitement de l’actualité par l’agence de presse britannique a été incroyablement partial, d’où la décision de l’État algérien d’expulser un correspondant de Reuters, accusé d’avoir propagé de fausses informations.
L’Occident a de nouveau recouru à son levier de pression, les médias, pour détourner à son profit les contestations sociales en Algérie. L’agence de presse britannique Reuters est l’un des réseaux médiatiques de l’Occident connus pour propager de fausses informations aux quatre coins du monde. Un des principaux objectifs de l’agence est de mettre de l’huile dans le feu dans les pays qui refusent de s’aligner sur la politique des hyperpuissances du monde. C’est le cas de l’Algérie. L’expulsion d’un correspondant d’origine tunisienne de l’agence britannique s’explique par la ferme volonté des autorités et de la nation algériennes de dire non à toute ingérence étrangère dans leurs affaires internes.
Tarek Amara, envoyé spécial de Reuters venu spécialement de Tunisie pour couvrir les manifestations en Algérie pour son agence, a été expulsé dimanche soir par les autorités algériennes.
Le journaliste tunisien, arrivé à Alger jeudi dernier pour préparer des reportages sur les rassemblements populaires que le pays connaît depuis des semaines, a propagé de fausses informations sur l’utilisation par la police de balles en caoutchouc pour disperser les manifestants à Alger.
L’envoyé spécial de Reuters a prétendu que lors d’une discussion « avec un officier de police croisé sur le terrain », celui-ci lui aurait confié que « le nombre de manifestants a été d’un million pour la seule journée du 29 mars à Alger ».
La Direction générale de la sûreté nationale a démenti les informations diffusées par des médias nationaux ou étrangers sur le nombre de participants aux marches dans la capitale, ce vendredi 29 mars 2019.