Après plusieurs semaines de silence, le gouvernement de Macron a décidé de prendre une décision, mais non pas pour arranger la situation dans le pays, mais plutôt pour réprimer la population. En effet, le gouvernement français envisage d’instaurer l’état d’urgence dans le pays pour pouvoir peut-être mettre fin à la mobilisation des Gilets jaunes. Cette décision rentre dans le cadre du plan de pourrissement de la mobilisation pour laisser éteindre la colère des protestataires.
Alors que le 3e acte du mouvement des Gilets jaunes a commencé, le gouvernement de Macron a beau essayé d’apaiser les Français en adoptant une politique méprisante à leur encontre. D’abord un silence, ensuite la répression, sans aucune retenue ni aucun tabou, le ministre français de l’Intérieur, Christophe Castaner a récemment abordé l’éventualité du retour d’un état d’urgence dans le pays pour restreindre le mouvement des citoyens français. La France tout entière sait pertinemment que ce plan ne mènera à rien, et que c’est plus une manière de fuir la réalité plutôt que d’y faire face.
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Après le 3e acte du mouvement des Gilets jaunes, la population avait décidé de manifester dans un lieu symbolique comme la capitale. Des Français de tout horizon et de toute la France se sont mobilisés le week-end du 1er et du 2 décembre à Paris. Des violences ont toutefois éclaté, la police avait reçu l’ordre d’attaquer les manifestants sans aucune retenue. Le gouvernement a d’ailleurs prétendu que les violences surtout dans le quartier populaire de l’Île-de-France et dans d’autres villes de l’Hexagone, provenait des Gilets jaunes, ce qui a poussé le gouvernement à restaurer l’état urgent à travers le pays.
Lorsque les manifestations ont commencé, la population française parlait déjà d’une rupture dans sa relation avec la classe politique. Et cette nouvelle décision prise par le gouvernement de Macron ne fait que creuser encore plus le fossé.
Les analystes affirment que la mise en vigueur d’une telle politique « contre-productive » ne pourra en rien ramener un retour au calme. Certaines forces de l’ordre se sentent déjà fatiguées et exaspérées et risquent de se mettre en retrait et même de rejoindre la colère anti-macronienne.
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Le président français, Emmanuel Macron, a finalement décidé de prendre un peu la colère de la population au sérieux, et a, de ce fait, écourté son voyage au Sommet du G20 en Argentine.
Que le président soit là ou pas, les décisions prises par le chef de l’État français n’ont fait qu’aggraver encore plus la colère des Français. D’ailleurs, pour faire taire les protestataires, le chef de l’État français a pris une décision plutôt démagogique en ordonnant à son chef du gouvernement, Édouard Philipe, de suspendre pour une durée de six mois la hausse de la taxe sur l’essence.
Les citoyens français ont rejeté une fois de plus la décision de M. Macron. En effet, la hausse de la taxe sur le carburant n’était que la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. Cela fait bien des années que la population française se sent étouffer par le surplus de taxe. Actuellement, les Français disent que le président Macron devrait commencer à vider les poches de son entourage et des grandes multinationales qui ne payent aucune taxe, car le peuple n’« a que des trous dans ses poches ».
Les médias mainstream qualifient le mouvement des Gilets jaunes de manifestation, alors que d’autre relayent les propos de la population, et qualifient ce mouvement de soulèvement, car les Français ne sont pas prêts à courber l’échine devant le capitalisme macronien qui a entièrement bafoué les droits de sa population.
