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Le vice-ministre iranien des A.E en visite à Alger pour parler de dossiers régionaux et internationaux

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Le vice-ministre iranien des Affaires étrangères Seyyed Abbas Araqtchi en viiste à Alger, 28 novembre 2018. ©Mehr News

Le vice-ministre iranien des Affaires étrangères chargé des affaires politiques Seyyed Abbas Araqtchi est arrivé, ce mercredi 28 novembre, à Alger, dans l’objectif de s’entretenir avec les autorités algériennes du renforcement des relations bilatérales.

Dès son arrivée, M. Araqtchi a déclaré au journaliste de l’IRNA que sa visite en Algérie s’inscrivait dans le cadre de négociations politiques et de consultations au sujet des questions régionales et internationales.

« Ces consultations ont toujours existé entre les deux pays et actuellement, elles figurent à notre agenda », a ajouté le vice-ministre iranien des Affaires étrangères.

"L’Algérie est un pays ami, a-t-il souligné. Les deux pays entretiennent d’étroites relations basées sur le respect mutuel et les discussions actuelles portent sur diverses questions d’intérêt commun.

Pour rappel, la 7e réunion de la commission politique irano-algérienne doit avoir lieu ce mercredi 28 novembre à Alger.

Il est à noter que les relations Téhéran/Alger ont toujours été au beau fixe. Après le rétablissement des sanctions contre de l’Iran par l’administration de Donald Trump, l’Algérie a annoncé qu’elle poursuivrait ses relations avec l’Iran.

« Les menaces de sanctions proférées par les États-Unis contre l’Algérie ne sont pas les premières et ne seront pas non plus les dernières. Le peuple algérien s’oppose à toute ingérence du président américain dans les affaires intérieures du pays », avaient affirmé des politiciens algériens.

La visite du vice-ministre iranien des Affaires étrangères en Algérie intervient à quelques jours de la visite du prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane dans le pays, attendue pour le 6 décembre prochain. Certains milieux politiques avaient qualifié cette visite de signe précurseur d'une volonté algérienne de "revoir certains secteurs de sa politique extérieure". 

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SOURCE: FRENCH PRESS TV