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Israël: les mises en garde de Téhéran ont provoqué une hausse du prix du carburant

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Une station de service à Haïfa (photo d'archive)

Sur fond d'escalade verbale entre Téhéran et Washington le prix de l’essence va monter, à compter du 1er août, en territoires occupés.

Dans son numéro du dimanche 29 juillet, le journal israélien Globes a fait état de la hausse du prix de l'essence. Dans la nuit de mardi à mercredi, le prix du litre d'essence augmentera de 0,08 shekel. Une hausse incessante depuis les trois derniers mois.

Selon Globes, cet accroissement des prix est dû à la valeur du pétrole sur les marchés mondiaux, mais aussi à la baisse du taux de change entre le shekel et le dollar.

Or, pour Info News la hausse du prix du carburant dans les territoires occupés est aussi due à l’escalade verbale entre Washington et Téhéran et surtout à l'avertissement iranien de fermer le détroit d’Hormuz.

La multiplication des provocations américaines contre l'Iran a fini par avoir raison de la légendaire patience iranienne.  Il y a un mois, le président Hassan Rohani a mis en garde contre un possible blocage du détroit d'Hormuz si les Américains poussaient les bouchées trop loin et cherchaient à "réduire à zéro" comme l'a promis Trump, les exportations du brut iranien d'ici le mois de novembre.  

 

 

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SOURCE: FRENCH PRESS TV