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La Knesset a rejeté un projet de loi qui prévoyait de placer Dimona sous supervision internationale

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Un panneau qui montre la direction de la centrale nucléaire de Dimona. (Photo d’archives)

Le Parlement israélien a rejeté à l’unanimité un projet de loi qui prévoyait de placer l’installation nucléaire israélienne de Dimona sous supervision internationale.  

Seuls les membres de la Liste unifiée, dominée par les Arabes, ont voté pour le projet de loi proposé par le député Jamal Zahalka. Ledit projet de loi a été finalement rejeté par 73 votes contre 8.    

Après le rejet de son projet, Jamal Zahalka a déclaré, au micro de l’agence de presse Sputnik, que la dénucléarisation de la région devrait commencer par Israël.

« Les nations de la région veulent qu’aucun pays ne dispose d’armes de destruction massive, mais tant qu’Israël en détiendra, il sera difficile de reprocher aux autres pays leurs programmes nucléaires », a déclaré Jamal Zahalka.

Il a ajouté qu’en cas de déclenchement d’un tremblement de terre, une catastrophe se produirait au Néguev, à al-Khalil, dans le sud de la Cisjordanie et dans l’ouest de la Jordanie.

« Un tremblement de terre destructeur est attendu tous les 90 ans en Israël. C’est un danger imminent et réel. De plus, la centrale nucléaire de Dimona se trouve dans une région où ont eu lieu la plupart des tremblement de terre de l’histoire », a réaffirmé le député arabe de la Knesset.

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SOURCE: FRENCH PRESS TV