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Après la menace nord-coréenne, les États-Unis reculent d’un pas devant Pyongyang

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
La Corée du Sud et les États-Unis ont tenu des exercices aériens conjoints, dans le cadre de leurs manœuvres annuelles "Vigilant Ace", lundi 11 décembre 2017. ©STRINGER

Après la menace nord-coréenne d'annuler le sommet Kim/Trump, prévu pour le mois de juin, le département de la Défense US a annoncé que les bombardiers B-52 ne participeraient pas aux exercices conjoints entre la Corée du Sud et les États-Unis.

L'absence des B-52 américains à la manœuvre Max Thunder qui se déroule sous l'égide des forces aériennes de la Corée du Sud et des États-Unis a été confirmée par le ministère sud-coréen de la Défense. La décision a été adoptée lors d'une réunion urgente entre le ministre sud-coréen de la Défense, Song Young-moo, et le général américain, Vincent Brooks, commandant des forces US  sur le sol sud-coréen, rapporte l'agence de presse Ynohap.

Lire aussi : La Corée du Nord sème le doute sur le sommet imminent Kim/Trump

Une source militaire sous couvert d’anonymat a dit à Yonhap que des avions de chasse furtifs F-22 et F-15 ont déjà participé à l’exercice qui se poursuivra jusqu’au 25 mai, mais qu'aucun B-52 ne les avait encore rejoint.

 

Selon l’agence de presse sud-coréenne, les conseillers sécuritaires du président sud-coréen et les responsables militaires du pays ont tenu une réunion d’urgence, suite à un coup de semonce tiré par Pyongyang.

 

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SOURCE: FRENCH PRESS TV