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Les militaires israéliens sont toujours en état d’alerte autour de Gaza

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Des Palestiniens manifestent dans l’est de la bande de Gaza devant la frontière avec Israël, demandant le droit au retour, le 30 mars 2018. ©Nur Photo

Alors que deux jours se sont écoulés depuis le début de la « Marche du grand retour », les soldats israéliens sont toujours déployés à la frontière de la bande de Gaza.

Journée de la Terre à Gaza : Israël ouvre le feu, au moins 16 morts. ©Le Figaro

Les militaires de l’armée israélienne sont toujours en état d’alerte à la frontière avec la bande de Gaza. Tel-Aviv prétend que 10 des 16 personnes tuées par ses forces le vendredi 30 mars étaient des membres de la branche militaire du Hamas, a rapporté Fars News.

La radio du régime israélien a estimé ce dimanche 1er avril que l’armée israélienne restait en état d’alerte dans cette région pour prévenir tout incident éventuel.

Le ministre israélien des Affaires militaires, Avigdor Lieberman.(Photo d’archives)

D’autre part, le ministre israélien des Affaires militaires, Avigdor Lieberman, a prétendu aujourd’hui que les militaires israéliens avaient mené à bien leur mission, ce qui a permis aux Israéliens de célébrer la Pâque juive.

À la veille de la « Marche du grand retour », Israël ordonne l’usage « de munitions réelles ». ©AA

Pour rappel, à l’occasion de la « Journée de la terre », des dizaines de milliers de Palestiniens ont participé vendredi dernier à la « Marche du grand retour », une manifestation au cours de laquelle les militaires israéliens ont tué 16 personnes et blessés des centaines d’autres.

Avigdor Lieberman a déclaré qu’aucune commission d’enquête internationale ne serait formée sur les incidents de vendredi dernier.

« Israël ne coopérera avec aucune commission d’enquête. De telles commissions devraient plutôt être formées sur les incidents en Syrie et au Yémen », a-t-il poursuivi.

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SOURCE: FRENCH PRESS TV