Le gouvernement algérien a soudainement mis fin, le mercredi 22 novembre, à la mission de l’ambassadeur irakien en poste à Alger, Abderrahmane Hamed El-Hosseini.
Après avoir rencontré, le lundi 20 novembre, un député du Parlement algérien le gouvernement d’Alger a supprimé les lettres de créance de l’ambassadeur irakien en poste à Alger, Abderrahmane Hamed El-Hosseini un an et demi après sa nomination à ce poste.
Le contenu et la nature de cette rencontre n’ont pas été révélés.
Le gouvernement d’Alger s’est opposé à la poursuite de la mission de l’ambassadeur irakien prétextant qu’il avait commis des erreurs diplomatiques et qu’il n’avait pas rempli pleinement ses obligations afin de concrétiser les objectifs diplomatiques qui unissent les deux pays et qu’il avait échoué à booster les relations de l'Irak avec l'Algérie, le plus grand pays de l’Afrique du Nord.