Afin d’épargner l’Arabie saoudite de la crise et d’atténuer les tensions au Liban, provoquées par la démission de Saad Hariri de son poste de Premier ministre, de multiples contacts ont été établis entre Paris, Beyrouth et Riyad pour transférer celui-ci en France.
Comment interprétez-vous cette démarche française ?
Pierre de Brague, analyste politique, nous répond.