Jawad Fairouz, président de Salam, une organisation pour la démocratie et les droits de l’homme à Bahreïn, a annoncé que depuis la révolution du 14 février 2011, 15.000 personnes avaient été emprisonnées par le régime.
Selon le site d’information Al-Ahed, Fairouz a ajouté : « Les leaders du mouvement de protestation subissent des traitements dégradants en prison et la situation de tous les détenus se dégrade de jour en jour. »
Ce militant bahreïni a ensuite appelé la communauté internationale à ne pas fermer les yeux sur les violations de droits de l’homme commises dans ce pays.
Toujours à Bahreïn, les forces de sécurité ont empêché aujourd’hui pour la 66ème semaine consécutive la prière du vendredi dans la localité d’al-Diraz, à l’ouest de Manama, la capitale.