The Jerusalem Post s’est penché dans un article sur l’hôpital de la ville de Nahariya, dans le nord de la Palestine occupée, à proximité des frontières avec le Liban. Des terroristes y sont soignés par des médecins israéliens.
Selon ce rapport, dans la seule clinique al-Jalil dans la ville de Nahariya, plus de 3 000 terroristes ont été soignés par des médecins du régime israélien avant de retourner se battre sur les champs de bataille contre le gouvernement syrien.
Le nombre de blessés qui sont transférés dans ce centre augmente chaque jour, a précisé ce quotidien, avant d’indiquer que les médecins ont avoué avoir soigné les terroristes.
Le général israélien Yaniv Ashur avait auparavant dit devant les journalistes, à proximité des frontières avec la Syrie, qu’Israël avait soigné des centaines de terroristes au cours de l’année précédente dans le cadre des « aides humanitaires prodiguées aux Syriens ».
Auparavant, les opposants syriens avaient reconnu dans un rapport qu’Israël leur avait apporté son soutien.
Cette interaction secrète vise à renforcer les groupes terroristes en Syrie pour faire face aux ennemis d’Israël, dont les combattants iraniens du CGRI et libanais du Hezbollah, ajoute le rapport.
Il y a peu, l’agence de presse officielle syrienne SANA a diffusé un rapport d’Antonio Guterres, le secrétaire général des Nations unies dans lequel ce dernier reconnaît le soutien d’Israël aux groupes terroristes dans le sud de la Syrie, comme le Front al-Nosra.