Un document publié par CNN en 2012 prouve que le département américain à la Défense (Pentagone) a aidé les terroristes dès le début du conflit syrien, à apprendre la façon d’utiliser et de sécuriser les stocks d’armes chimiques en Syrie.
Selon le site du centre de recherche Global Research, les médias occidentaux qui imputent les récentes attaques chimiques en Syrie à Damas, nient impunément leurs anciennes publications qui attestaient l'accès des terroristes aux armes chimiques et leur formation par les États-Unis pour apprendre à manipuler et transporter ces armes.
Selon certains de ces rapports que renient aujourd'hui les médias, le Pentagone s'est occupé de la formation des terroristes pour l’utilisation des armes chimiques, dans l’objectif de déclencher une attaque chimique sous faux drapeau, favorisant ainsi le renversement du président syrien Bachar Assad.
Toujours selon ces rapports, les attaques chimiques ont été orchestrées par les États-Unis. Un plan secret du Pentagone visait à attribuer ces attaques au gouvernement Assad, provoquer l’opinion publique internationale et favoriser le lancement d’une action militaire internationale contre la Syrie.
Un article paru en 2013 dans The Daily Mail, publié à Londres, et maintenant retiré du site du quotidien, révélait un projet anglo-américain du même genre et financé par le Qatar.
Selon Global Research, la décision de l'administration Trump de frapper la Syrie, en réponse à l'attaque présumée chimique attribuée à Damas, va dans le cadre de la stratégie des « sous faux drapeau », une tactique de guerre déjà employée par l'ancien gouvernement démocrate d’Obama et qui reste encore une option sur la table des Américains.
Selon le site d’information et d’analyse, s’agissant de l’attaque présumée chimique de Khan Cheikhoun en Syrie, Donald Trump ment, tout comme les médias occidentaux et les alliés de Washington.