La police française a fait état de l’explosion d’un colis piégé dans le bureau parisien du Fonds monétaire international (FMI).
Le colis était adressé au directeur de l’institution, mais c’est une assistante qui a été brûlée au visage et aux mains alors qu’elle tentait de le décacheter.
Selon le président français, François Hollande, il s’agit d’un attentat terroriste.
D’autre part, une fusillade a également éclaté le jeudi 16 mars dans un lycée à Grasse, faisant plusieurs blessés. Selon la mairie de Grasse, la fusillade serait le fait de deux élèves et « non de terroristes ». Dans quel contexte pourrait-on placer cette fusillade ?
La piste terroriste est-elle à exclure ?
François Géré, président fondateur de l’Institut français d’analyse stratégique, nous donne plus d’explications à ce sujet.