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Pourparlers de paix de Genève: premier face à face

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Les premières négociations directes organisées par l'ONU à Genève le 23 février, suscitent le rêve d'une nouvelle voie de sortie de crise. (Photo d'illustration)

Pour la première fois, la délégation du gouvernement syrien et les autres groupes d’opposition se sont retrouvés face à face, depuis le début du conflit.

Pour reprendre le dialogue de paix, les représentants du gouvernement syrien et de l'opposition se sont retrouvés, jeudi 23 février, à Genève, pour un nouveau round des pourparlers de paix sous l’égide de l’ONU.

Jusque-là, les représentants de l’opposition syrienne n’acceptaient pas de s’asseoir autour d’une même table, pendant les pourparlers, avec les négociateurs du gouvernement Assad et ils échangeaient par l’intermédiaire du représentant onusien.

La réunion de jeudi à Genève a commencé par le discours de l'envoyé spécial de l'ONU pour la Syrie, Staffan de Mistura. Le diplomate onusien a insisté sur le fait qu’aucune précondition n’est acceptable dans cette nouvelle assise. « Pas de miracle » à attendre, a-t-il dit, en essayant d’être autant réaliste que possible, avant d’exhorter toutes les parties à "agir pour la paix et pour un peuple syrien qui a beaucoup souffert."

L’émissaire onusien n’a pas manqué de saluer les avancées réalisées dans les récentes négociations pour le rétablissement d’un cessez-le-feu en Syrie, dans lesquelles l’ONU n’a pas joué de rôle. 

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SOURCE: FRENCH PRESS TV