En France, le candidat de la droite à l’élection présidentielle a récemment souligné qu’il comptait rester candidat même s’il était mis en examen.
«On annonçait depuis plusieurs jours soit ma mise en examen, soit l’ouverture d’une information judiciaire et cela alimentait l’inquiétude de certains élus. On voit qu’il n’en est rien et donc je vais poursuivre ma campagne. Je m’en remets désormais au suffrage universel », a déclaré François Fillon dans un entretien au Figaro.
François Fillon se dit victime d'une opération lourde, conduite pour empêcher le candidat de la droite et du centre, mais ne réitère pas ses accusations de "complot" qu'il avait lancées contre le gouvernement.
Toutefois, il souligne que cette affaire profite "à une gauche qui est dans une situation inextricable avec un président discrédité, une majorité éclatée, un candidat illusionniste…"
Pour le député de Paris, toutes ces affaires sont en train de "renforcer la volonté des électeurs de la droite et du centre. Ce sont des pratiques détestables qui ne me feront pas reculer."
Avec le Figaro et RFI