Le département du Trésor américain a sanctionné, le vendredi 3 février, 12 institutions et 13 personnes liées à l'Iran.
Il s’agit des premières sanctions anti-iraniennes de l’administration Trump, sanctions qui sont liées au récent tir de missile de l’Iran et à ce qu’elle appelle le soutien de Téhéran au mouvement Ansarallah du Yémen.
Selon ce rapport, huit Iraniens, trois Chinois, deux Libanais, un Bosniaque ainsi que cinq sociétés iraniennes, quatre libanaises, deux chinoises et une émiratie ont été visés par ces sanctions américaines.
John Smith, directeur par intérim de l’Office of Foreign Assets Control (OFAC), qui est l’unité en charge des sanctions financières, a prétendu que le soutien continu de l’Iran au terrorisme et le développement de son programme de missiles balistiques constituaient une menace pour la région et les partenaires des États-Unis à travers le monde.