Selon le ministre iranien des Affaires étrangères, le plan global d’action conjoint n’annonce pas la fin des oppositions et des faux-semblants à l’égard de l’Iran.
Lors de sa première allocution devant le 10e Parlement, Mohammad Javad Zarif a tenu à présenter un rapport sur les acquis de l’accord nucléaire :
« Les ennemis et les opposants à l’Iran, les Sionistes et le régime saoudien ne ménagent aucun effort pour suggérer que l’Iran n’est pas un pays sûr pour l’investissement. C’est pourquoi nous devons essayer de montrer les réalités de l’Iran au monde entier, le rassurer que c'est le pays le plus sûr dont le marché est lucratif et où il est possible d'établir des relations cohérentes.»
Selon lui, l'Iran ne devait pas devenir le "haut-parleur" des campagnes des groupes opposés. Il n’a pas omis de rappeler que son pays n’avait pas oublié les entraves, les oppositions et les tergiversations des pays occidentaux. Cependant, l’arrivée de nombreuses délégations étrangères en Iran témoigne du fait que la communauté internationale voit en Iran un allié digne de confiance.
« Il faut annoncer au monde entier que l’Iran est le pays le plus sûr de la région pour les investisseurs et les touristes étrangers. »