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Nouvelle agression de Gaza par les bombardiers israéliens

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
De la fumée monte de la ville de Rafah, dans la bande de Gaza, après des frappes de l'armée israélienne, le 5 mai 2016. © AFP

Les avions de combat de l’entité sioniste ont largué des bombes sur une région dans l’Ouest de Rafah et le camp des réfugiés de Nuseirat situés respectivement dans le Sud et au Centre de la bande de Gaza.

Aucun rapport n’a encore publié sur les éventuelles pertes en vie humaine des raids des appareils israéliens sur ces enclaves palestiniennes.

Israël prétend avoir mené deux raids sur ces zones palestiniennes dans le Sud de la bande de Gaza en riposte à un tir de roquette.

Aucun groupe palestinien n’a revendiqué la responsabilité de ce que les Israélien prétendent le tir de roquette vers les territoires occupés.

Le régime de Tel-Aviv a lancé en juillet 2014 une guerre sanglante contre la Bande de Gaza. La guerre ayant duré une cinquantaine de jours a fait 2200 morts dont 577 enfants parmi les Palestiniens.

Plus de 11100 autres Palestiniens y compris 3374 enfants, 2088 femmes et 410 personnes âgées ont été aussi blessés.

Acharné à lancer des offensives contre la Bande Gaza Israël  recourt toujours à l’usage excessif de force contre les civils palestiniens .

Israël a imposé en 2007 un blocus contre la Bande de Gaza avant de bloquer tous les points de passage menant à cette enclave palestinienne. Le régime de Tel-Aviv a interdit l’acheminement de toute marchandise vers cette zone même des médicaments et des équipements médicaux. Le blocus et le conflit avec Israël, en 2014, ont été ravageurs pour l'économie de la bande de Gaza, estime la Banque mondiale.

"Le chômage et les chiffres de la pauvreté sont très troublants et les perspectives économiques sont inquiétantes.", selon cette instance mondiale.

1,8 million de Palestiniens restent pris au piège dans la bande de Gaza, quasiment coupée du monde extérieur.

Le blocus a ravagé l’économie gazaouie, empêché la plupart des habitants d’y sortir, restreint l’accès aux services essentiels comme la santé et l’éducation, et coupé les liens entre les Palestiniens.

 

    

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SOURCE: FRENCH PRESS TV