« L’examen de l’avenir de Bachar al-Assad au sein du gouvernement syrien est lié au passé », a déclaré le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Guennadi Gatilov.
« Il est temps qu'il y ait des négociations directes entre les Syriens », a ajouté Gatilov.
« A présent, il n’est pas question d’envoyer des forces de maintien de la paix en Syrie », a-t-il poursuivi.
« La non-participation des Kurdes aux négociations sur la Syrie dépend de la prise de position de la Turquie », a-t-il précisé avant de souligner : « pour le moment, l’avenir de Bachar al-Assad ne fera pas l’objet d’un examen ».