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Les Syriens opposés à la désintégration de leur pays

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Abdul Qader Azouz, conseiller du président du Conseil des ministres syrien, au micro de Tasnim.

Un important conseiller du président du Conseil des ministres syrien a souligné que son peuple est totalement opposé à la fragmentation du pays et à un système de gouvernement fédéral.

S’adressant à l’agence de presse Tasnim, Abdul Qader Azouz a dénoncé un complot visant à désintégrer la Syrie ou à l’entraîner vers le fédéralisme. Il a déclaré qu’un tel complot n’avait aucune chance d’aboutir.

Il a ajouté que parler de fédéralisme à propos de la Syrie, en particulier dans le sens politique du terme, était inacceptable pour plusieurs raisons.

Premièrement, Azouz a dit que, d’après la Constitution, la Syrie est un pays unitaire dont la souveraineté nationale et l’intégrité territoriale sont sacrées.

La seconde raison, a-t-il souligné, est que le peuple syrien a toujours défendu bec et ongles son intégrité nationale, en s’opposant notamment aux accords Sykes-Picot il y a quelque 100 années de cela.

Les accords Sykes-Picot sont des accords secrets signés le 16 mai 1916 entre la France et le Royaume-Uni, prévoyant le partage du Proche-Orient entre eux. Ils ont joué un grand rôle pour définir les frontières de la région telles qu'elles existent aujourd'hui.

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SOURCE: FRENCH PRESS TV