Selon une publication d’enquête américaine en ligne, le New York Times a demandé aux reporters et aux journalistes couvrant la guerre génocidaire menée par Israël contre les Palestiniens dans la bande de Gaza de restreindre l’utilisation des termes de « génocide » et « nettoyage ethnique », et d’« éviter » l’emploi de l’expression « territoires occupés » pour désigner les territoires palestiniens occupés par Israël.
Le régime de Tel-Aviv a lancé une campagne génocidaire contre la bande de Gaza le 7 octobre 2023, après que le Hamas a mené l’opération Tempête d’Al-Aqsa contre l’entité usurpatrice en représailles à l’intensification de ses atrocités contre le peuple palestinien.
Depuis, Israël a tué au moins 33 800 personnes, pour la plupart des femmes et des enfants.
L’organisation Save the Children a tiré la sonnette d’alarme sur le bilan et les souffrances infligées aux enfants de la bande de Gaza. Plus de 14 500 des 1,1 million d’enfants de Gaza ont été tués. Et des milliers d’autres sont portés disparus, présumés enterrés sous les décombres, sans que leur mort ne soit signalée.
L’aide vitale dont dépendent les familles a été soit administrée au compte-goutte, soit refusée par le régime israélien – tandis que les services essentiels ont été décimés par les hostilités israéliennes en cours.
Selon le Global Education Cluster jusqu’au 30 mars, 87,7 % des bâtiments scolaires de Gaza ont été endommagés ou détruits.
Réaction de Bernard Cornut, analyste politique.